Donald Trump a fait tomber cette campagne présidentielle américaine encore plus bas que beaucoup d'observateurs le craignaient. Kamala Harris a riposté en traitant son adversaire de fasciste. La démocratie sort essorée de cette campagne.

Dans sa chronique, le conseiller national socialiste genevois Christian Dandrès nous parle des fausses promesses entourant la révision de la LAMal (Efas) pour laquelle les Suisses voteront le 24 novembre.

Chroniquer l'élection présidentielle américaine du 5 novembre sans penser à notre propre avenir d'Européens et de Suisses est impossible. Là réside le problème. Ce duel Trump-Harris nous prend en otage, estime notre envoyé spécial aux États-Unis Richard Werly.

Tandis que les livres estampillés développement personnel se multiplient sur les tables des libraires, notre chroniqueur Quentin Mouron dénonce une imposture. Comme antidote, il nous ouvre sa bibliothèque. À défaut de rendre sage, la littérature rendrait moins bête.

Dans sa nouvelle chronique pour Blick, le conseiller aux Etats Mauro Poggia plaide pour le OUI à l'extension des autoroutes qui sera votée le 24 novembre prochain. Selon lui, plus d'autoroutes permettra de désengorger les routes secondaires.

Pour sa première chronique, la conseillère nationale vaudoise des Vert-e-s Léonore Porchet revient sur le buzz inattendu de son débat sur les règles. Lorsque ces dernières s’infiltrent au Parlement, elles brisent un tabou et éveillent un débat nécessaire en politique.

Notre chroniqueuse Jacqueline de Quattro, conseillère nationale PLR, revient cette semaine sur cette tourmente de l'automne devenue malheureusement régulière: l'augmentation des primes de l’assurance-maladie.

Le grand quotidien de Washington, connu pour ses sympathies démocrates, s'abstient de soutenir un candidat pour la présidentielle américaine. Logique, son propriétaire Jeff Bezos, comme celui du «Los Angeles Times», redoute une victoire de Trump.

En suivant les Swiss Indoors à Bâle, je dois dire que je me suis pris au jeu des émotions offertes par les joueurs au glorieux passé comme Stan Wawrinka. Corollaire, le manque d'intérêt pour la jeunesse est flagrant. Or, elle seule peut continuer à nous faire vibrer.

Une boîte permettant de contrôler que les employés rigolent? Voici de quoi intriguer notre chroniqueur Quentin Mouron. Presque dix ans après sa vidéo cultissime, l’esprit de Johann Schneider-Amman s’est incarné dans le corps des dirigeants de La Bâloise.