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Guy Parmelin rejette l'idée que la Suisse ait «acheté» l’accord douanier: les investissements annoncés aux USA n’engagent pas le pays. Il juge réaliste l'argent investi, assure que l’accord reste souple et vise une application rapide de la baisse des droits de douane.

Contre toute attente, Donald Trump soutient désormais un vote à la Chambre pour publier le dossier Epstein, après s’y être fermement opposé. Il affirme n’avoir «rien à cacher», tandis que des démocrates l’accusent de vouloir dissimuler son implication.

Des centaines de soldats de la garde nationale américaine commencent à se retirer de Chicago et Portland après un déploiement annoncé par Trump, mais contesté en justice. Les tribunaux ont jugé ce déploiement «illégal».

Un juge fédéral de Chicago a ordonné la libération sous caution de centaines de personnes arrêtées lors de l’opération «Midway Blitz» de l’ICE. Il a jugé ces arrestations illégales, infligeant un nouveau revers judiciaire à l’administration Trump.

Mercredi, l'ancien directeur des services de renseignement sud-coréens, Cho Tae-yong, en fonction lors de l’instauration de la loi martiale en 2024, a été arrêté. Il est notamment poursuivi pour manquement à ses responsabilités à la tête des services secrets.

A la COP30 sans Trump, Gavin Newsom s'en est pris frontalement au président américain: «Trump redouble d’imbécillité». Le gouverneur de Californie défend sa politique verte et promet un retour dans l'accord de Paris en cas d'élection d'un président démocrate.

Au moins douze personnes ont été tuées mardi dans un attentat-suicide devant un tribunal d'Islamabad, la capitale du Pakistan, a annoncé le ministre de l'Intérieur.

Le patron de Groupe E, Alain Sapin, estime que la Suisse ne pourra pas se passer du nucléaire pour garantir son approvisionnement énergétique. Selon lui, les énergies renouvelables progressent trop lentement et le pays doit envisager des centrales de réserve.

Le président indonésien a élevé lundi Suharto au rang de «héros national», défendant la décision malgré les accusations de violations des droits humains. Cette nomination suscite l’opposition de 500 universitaires et militants dénonçant une «trahison des victimes».

La Confédération tire un bilan intermédiaire positif de l'exercice national de gestion de crise qui s'est déroulé jeudi et vendredi. Une multitude d'acteurs, aux trois échelons de l'Etat, ont collaboré durant cet «exercice intégré».