Le code pénal iranien prévoit la peine de mort par lapidation pour l'adultère (image d'illustration).
Photo: DUKAS
Le code pénal iranien laisse toutefois le choix au juge d'opter pour la pendaison au lieu de la lapidation. Si la famille d'une victime accorde son pardon à un criminel condamné à mort, la sentence n'est pas exécutée.
Au début de l'année, la femme trompée avait présenté à la police des vidéos des ébats de son mari et de sa maîtresse, avant de leur pardonner. Mais son père a exigé la peine capitale pour son gendre et son amante.
Shargh indique dans son édition de samedi que la 26e chambre de la cour suprême iranienne a confirmé récemment la sentence «en se basant sur les vidéos et leurs aveux».
Selon l'ONG de défense des droits fondamentaux Amnesty International, l'Iran a exécuté 246 personnes en 2020.
(ATS)
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