Les réseaux de soins coordonnés ne doivent pas être admis comme nouveaux fournisseurs de soins. Malgré le «oui» du Conseil des Etats la semaine passée, la commission compétente du National réitère son refus.
Bien qu'elle reconnaisse que les traitements sont de meilleure qualité et plus efficaces lorsque les fournisseurs de prestations se coordonnent entre eux, la commission de la santé publique du National ne voit toujours pas de valeur ajoutée à l'introduction d'un nouveau fournisseur de soins. Par 14 voix contre 10, elle maintient sa décision de biffer ce point essentiel du deuxième paquet de mesures visant à freiner la hausse des coûts de la santé.
A ses yeux, il existe déjà des offres attrayantes et fonctionnelles. La commission doute que le potentiel d'économies escompté puisse être atteint, indiquent vendredi les services du Parlement.