«Les nouvelles technologies peuvent réduire la charge subie par les civils, a estimé Alain Berset. Mais elles apportent aussi de nouvelles menaces comme la désinformation ou la surveillance illicite».
La présidente du Comité internationale de la Croix-Rouge (CICR) Mirjana Spoljaric a elle affirmé que l'application du droit international humanitaire (DIH) aux nouvelles technologies dans les conflits ne pouvait être contestée. Les civils ne doivent être ciblés, ni les infrastructures médicales.
«Dilemmes numériques»
L'exposition confronte les participants aux «dilemmes numériques» auxquels les civils dans les territoires affectés par des conflits doivent faire face. Elle montre que l'implication grandissante de ceux-ci dans les guerres numériques peut avoir un impact à long terme pour des «populations entières».
(ATS)