«On peut lécher le trottoir!»
Une touriste américaine n'arrive pas à croire à quel point la Suisse est propre

Après leurs visites en Suisse, les influenceurs ne cessent en général de se plaindre des prix élevés pratiqués dans le pays. Ce n'est pas le cas de Lydia Keating, une influenceuse sur Tiktok. Elle est impressionnée par la Suisse et s'extasie sur sa propreté.
Publié: 15.03.2024 à 22:09 heures
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Lydia Keating aime la Suisse. Pourquoi? Elle l'explique dans une vidéo.
Photo: Tiktok @lydialoo21
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Marian Nadler

«Honte à la Suisse d'être un pays si cher», se déchaînait l'influenceuse allemande Fibii sur Tiktok. Le chanteur pop Robbie Williams a lui aussi critiqué la Suisse il y a quelque temps. Non pas à cause des prix, mais parce qu'il la trouve «ennuyeuse».

Pourtant, toutes les célébrités et les influenceurs n'ont pas une mauvaise opinion de notre pays. La preuve: l'influenceuse américaine Lydia Keating, qui compte 1,7 million de followers rien que sur Tiktok.

«On pourrait lécher les trottoirs!»

Dans une vidéo publiée sur Tiktok, la star des réseaux sociaux s'extasie sur la propreté de Zurich. Les trottoirs et les passages souterrains sont parfaitement propres, se réjouit l'Américaine. «On pourrait les lécher!»

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L'offre culinaire l'a également séduite. Elle s'offre avec plaisir une fondue aux truffes. «C'est vraiment bon», s'exclame-t-elle, ravie, face à la caméra. Les ruelles de la vieille ville de Zurich sont aussi l'objet de son admiration. «Je trouve les ruelles vraiment mignonnes, en Amérique, elles sont effrayantes.»

Les Suisses auraient un «drôle de regard»

Elle aborde ensuite le thème de la sécurité. Lydia Keating est étonnée de voir qu'en Suisse, les gens ne mettent pas de cadenas sur leurs vélos et qu'ils ne s'inquiètent pas qu'ils soient volés.

Contrairement à d'autres influenceurs, elle n'a presque rien à redire. Une seule chose l'a embarrassée: le regard des autres dans la rue. Elle pensait que les gens la dévisageaient, alors que le «regard suisse-allemand» est tout à fait normal. Aux Etats-Unis, on «s'ignore mutuellement et on ne se regarde pas». En Suisse, c'est différent. L'influenceuse s'est entre-temps habituée à ces œillades. 

Début janvier, une vidéo Tiktok était devenue virale, dans laquelle une jeune femme se moquait d'une visite dans un McDonalds suisse. «Nous avons payé près de 50 euros pour deux menus. Ça va la tête?, s'énerve la jeune femme. Pour ce prix, je me serais attendue à ce qu'on me mette la nourriture dans la bouche tout en me massant les pieds.» Le regard positif de Lydia Keating sur la Suisse est alors un changement bienvenu.

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