Le «New York Times» a révélé lundi qu'un spécialiste de cette maladie neurodégénérative avait été reçu huit fois en huit mois à la Maison-Blanche, entre l'été 2023 et ce printemps.
Vague de spéculations
Karine Jean-Pierre, la porte-parole du président démocrate de 81 ans, a tenté de contenir la vague de spéculation provoquée par cet article. «Le président est-il traité pour la maladie de Parkinson? Non [...] Prend-il des médicaments contre la maladie de Parkinson? Non», a dit Karine Jean-Pierre, sans indiquer qui ce spécialiste était venu voir ni dans quel but, se retranchant derrière une obligation de «confidentialité».
Le président américain Joe Biden a dénoncé lundi les frappes qui ont fait au moins 36 morts en Ukraine, «un rappel atroce» selon lui de la «brutalité» démontrée par la Russie. Il a promis «de nouvelles mesures pour renforcer la défense antiaérienne de l'Ukraine».
«Ensemble, avec nos alliés, nous allons annoncer de nouvelles mesures pour renforcer la défense antiaérienne de l'Ukraine afin d'aider à protéger ses villes et ses civils des frappes russes», a déclaré le président américain, qui accueille à partir de mardi à Washington un sommet de l'OTAN, aux côtés notamment du président ukrainien Volodymyr Zelensky.
La Russie a mené lundi une attaque massive contre des villes d'Ukraine, qui a fait au moins 37 morts, dont certains dans des hôpitaux. «Au total, près de 100 bâtiments ont été endommagés : un hôpital pour enfants, des maisons, des jardins d'enfants, une maternité, un collège, un centre d'affaires», a détaillé Volodymr Zelensky sur Telegram lundi soir.
Le président américain Joe Biden a dénoncé lundi les frappes qui ont fait au moins 36 morts en Ukraine, «un rappel atroce» selon lui de la «brutalité» démontrée par la Russie. Il a promis «de nouvelles mesures pour renforcer la défense antiaérienne de l'Ukraine».
«Ensemble, avec nos alliés, nous allons annoncer de nouvelles mesures pour renforcer la défense antiaérienne de l'Ukraine afin d'aider à protéger ses villes et ses civils des frappes russes», a déclaré le président américain, qui accueille à partir de mardi à Washington un sommet de l'OTAN, aux côtés notamment du président ukrainien Volodymyr Zelensky.
La Russie a mené lundi une attaque massive contre des villes d'Ukraine, qui a fait au moins 37 morts, dont certains dans des hôpitaux. «Au total, près de 100 bâtiments ont été endommagés : un hôpital pour enfants, des maisons, des jardins d'enfants, une maternité, un collège, un centre d'affaires», a détaillé Volodymr Zelensky sur Telegram lundi soir.
Elle a souligné que Joe Biden avait vu trois fois un neurologue à l'occasion de ses bilans annuels de santé, dont le dernier a été rendu public en février, et qu'il avait été testé pour diverses maladies neurodégénératives dans ce cadre, avec des résultats négatifs.
Joe Biden a exhorté lundi les élus du parti démocrate divisé à «se rassembler» autour de sa candidature et a défié les sceptiques de l'affronter lors de la convention d'investiture du mois d'août, alors que les appels à un retrait de sa candidature se poursuivent.
«Pas aveugle»
«Je suis fermement décidé à rester en course», a écrit le président américain dans une lettre aux parlementaires démocrates, de retour en session à Washington après la pause de la fête nationale du 4 juillet. «Il est temps de se rassembler», juge le démocrate de 81 ans.
Joe Biden a indiqué aux parlementaires qu'il n'était «pas aveugle» aux «préoccupations» exprimées depuis le duel télévisé face à son adversaire de 78 ans, lors duquel il est apparu très fatigué et embrouillé. Mais dans un appel retransmis pendant l'émission matinale de la chaîne MSNBC, il s'en est pris avec véhémence aux frondeurs dans son propre parti.