Gabriela Petrovic a su très tôt qu’elle voulait devenir assistante en soins et santé communautaire. Son parcours n’a cependant pas été facile. Elle a changé deux fois d’établissements, a eu des doutes sur sa formation et a failli mettre fin à ses études. Tous ces évènements ont marqué son entrée dans la vie professionnelle.
Cette Bâloise s’était imaginé sa formation autrement. Ses changements de place d’apprentissage, elle ne les a pas fait par indécision, mais par conviction.
«La première fois, je ne recevais pas la formation dont j’avais besoin», se souvient la jeune femme de 22 ans. «L’accompagnement était souvent insuffisant et il y avait des problèmes de personnel.» Au terme de sa première année d’apprentissage, Gabriela a donc jugé nécessaire d’être transférée dans un hôpital régional. Pourtant, pendant sa période d’essai, elle a osé un nouveau changement: la future assistante en soins et santé communautaire a présenté sa démission pour poursuivre sa formation au centre de rééducation Reha Rheinfelden. Elle y a enfin trouvé son bonheur. «J’ai pu y terminer ma formation et ensuite, j’ai décidé de rester.»
Malgré le doute, un objectif en tête
Gabriela a toujours voulu que son travail contribue au rétablissement et à la guérison de ses patientes et patients. L’école professionnelle était censée l’aider dans ses objectifs. Pourtant, elle a eu le sentiment de ne pas pouvoir exploiter son plein potentiel durant sa formation. Elle a même envisagé d’interrompre ses études. «Heureusement, le corps enseignant m’a soutenue. En plus, je savais que si j’arrivais au bout de cette formation, je pouvais accomplir encore bien plus par la suite.» Le personnel éducatif du centre de rééducation a lui aussi remarqué le talent de la jeune femme. On lui a donc proposé de poser sa candidature pour les SwissSkills Championships. «À l’époque, je ne connaissais pas ces championnats, mais j’ai eu envie d’essayer», se rappelle-t-elle.
Et quelle réussite! Il y a deux ans, Gabriela a non seulement remporté le concours du canton d’Argovie, mais également les championnats nationaux. «Sur le moment, j’ai eu du mal à y croire. Mais j’étais contente que ça en vaille la peine. J’ai investi beaucoup de temps dans mon apprentissage.» Cette expérience a d’ailleurs beaucoup profité à la jeune femme. «Avant, j’étais très timide mais aujourd’hui, je peux parler devant un public. J’ai bien plus confiance en moi.»
La formation professionnelle et la richesse des métiers constituent des piliers essentiels du succès économique suisse. Pour garantir leur pérennité et permettre aux jeunes de découvrir et de développer pleinement leur potentiel, UBS s’engage activement sur l’ensemble des plateformes SwissSkills. Celles-ci visent à renforcer l’excellence de la formation professionnelle en Suisse.
Parmi les initiatives soutenues figurent notamment les championnats suisses des métiers SwissSkills 2025, qui auront lieu à Berne du 17 au 21 septembre, ainsi que l’accompagnement de l’équipe nationale SwissSkills dans sa préparation aux compétitions internationales.
Ringier Médias Suisse est le partenaire média officiel de SwissSkills.
La formation professionnelle et la richesse des métiers constituent des piliers essentiels du succès économique suisse. Pour garantir leur pérennité et permettre aux jeunes de découvrir et de développer pleinement leur potentiel, UBS s’engage activement sur l’ensemble des plateformes SwissSkills. Celles-ci visent à renforcer l’excellence de la formation professionnelle en Suisse.
Parmi les initiatives soutenues figurent notamment les championnats suisses des métiers SwissSkills 2025, qui auront lieu à Berne du 17 au 21 septembre, ainsi que l’accompagnement de l’équipe nationale SwissSkills dans sa préparation aux compétitions internationales.
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Responsable de formation plutôt que responsable de service adjointe
Pendant les championnats, on a proposé à la jeune assistante en soins et santé communautaire de participer à la création d’un service start-up au sein de la Reha Rheinfelden. L’objectif de ce service est d’apporter de nouvelles idées afin de sortir des sentiers battus.
Après le concours, Gabriela est passée au service de nuit, où on lui a finalement proposé le poste de responsable de service adjointe. «Bien sûr, ce poste m’a attirée», explique-t-elle. Son expérience lors des SwissSkills Championships 2023 lui a cependant inspiré d’autres projets. Elle aspirait également à devenir responsable de formation. Gabriela a donc décidé de retourner sur les bancs de l’école. Elle a obtenu le certificat FSEA de formatrice et a suivi des formations complémentaires en technique médicale afin d’élargir son domaine de compétences.
Depuis avril 2025, Gabriela travaille au Tertianum Bergsicht et au Tertianum Lindenegg à Kirchlindach, dans le canton de Berne, et est responsable de formation pour les deux établissements. À ce titre, elle assume l’entière responsabilité de la formation des assistants et assistantes en soins et santé communautaire, des aides en soins et accompagnement et des stagiaires. Elle accompagne également la réintégration des spécialistes dans ce domaine et réunit le personnel éducatif des deux établissements au sein d’un groupe spécialisé. L’organisation de journées Futur en tous genres et des stages de découverte et d’observation relève également de son domaine de compétence. Par ailleurs, elle est elle-même formatrice, accompagne les personnes en formation au quotidien et participe à la planification des formations.
Avec ce rôle polyvalent, Gabriela n’a cessé d’évoluer. «J’aime beaucoup l’alternance entre la pratique et le travail de bureau», s’enthousiasme la jeune femme. La diversité des tâches la motive chaque jour. «Le pire pour moi serait de faire la même chose tous les jours.»
Son métier de rêve: cheffe experte
Notre responsable de formation sait cependant déjà qu’elle souhaite continuer à évoluer. À cet effet, Gabriela suit actuellement une formation à distance en sciences infirmières. Son objectif est simple: «Plus tard, j’aimerais enseigner à Berne à l’OdASanté, l’organisme de formation professionnelle, et passer des examens pour devenir un jour cheffe experte au niveau cantonal. Pour cela, j’ai besoin de plus de diplômes et de temps.» Or, du temps, elle n’en a actuellement pas beaucoup. «Je travaille déjà à temps partiel et étudie en parallèle. Malgré tout, j’ai appris à adapter mon rythme.»
Et quels sont ses conseils pour les jeunes? «Saisissez toutes les opportunités qui s’offrent à vous. Si je n’avais pas participé aux SwissSkills Championships, rien de tout cela ne serait arrivé. Les petites opportunités ouvrent de nombreuses portes.»
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact : E-mail à Brand Studio
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