Des milliers de manifestants à Tel-Aviv refusent la prise de contrôle de Gaza
Des dizaines de milliers de manifestants sont descendus samedi à Tel-Aviv pour appeler à la fin de la guerre dans la bande de Gaza, au lendemain de l'annonce du plan israélien pour la conquête de la ville de Gaza, la plus grande du territoire palestinien.
Samedi à Tel-Aviv, les journalistes de l'AFP présents sur place ont estimé à des dizaines de milliers le nombre des manifestants, le Forum des familles des otages faisant état de 100'000 participants. Les autorités n'ont pas fourni d'estimation officielle.
Les manifestants brandissaient des pancartes et des photos des otages toujours détenus dans le territoire palestinien, exhortant le gouvernement à obtenir leur libération.
«Si vous envahissez certaines parties de Gaza et que les otages sont tués, nous vous poursuivrons sur les places publiques, pendant les campagnes électorales et à tout moment et en tout lieu», a déclaré à l'AFP Shahar Mor Zahiro, un proche d'un otage tué, dans un «message direct au Premier ministre».
Les familles des otages et les militants israéliens en faveur de la paix avec les Palestiniens réclament un cessez-le-feu avec le Hamas pour obtenir la libération des derniers captifs.
Le plan de Netanyahu
Après 22 mois de guerre, le Premier ministre Benjamin Netanyahu est confronté à une très forte pression en Israël et de l'étranger pour mettre fin à son offensive dans la bande de Gaza, où plus de 2 millions de Palestiniens sont menacés d'une «famine généralisée», selon l'ONU.
Selon le plan validé par le cabinet de sécurité israélien, l'armée «se prépare à prendre le contrôle de la ville de Gaza», une agglomération en grande partie détruite dans le nord du territoire, «tout en distribuant une aide humanitaire à la population civile en dehors des zones de combat».
Source: AFP
La Russie «condamne et rejette» le plan israélien d'occupation de la ville de Gaza
La Russie a condamné samedi le plan israélien de prendre le contrôle de la ville de Gaza, estimant qu'une telle initiative risque d'aggraver la «catastrophe humanitaire» en cours dans l'enclave palestinienne.
«La mise en oeuvre de telles décisions et de tels plans, qui suscitent la condamnation et le rejet, risque d'aggraver la situation déjà dramatique dans l'enclave palestinienne, qui présente tous les signes d'une catastrophe humanitaire», a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
Source: AFP
La Défense civile fait état de 37 Palestiniens tués par des tirs et frappes israéliens
Le porte-parole de la Défense civile de la bande de Gaza, Mahmoud Bassal, a fait état de 37 personnes tuées samedi par des frappes ou des tirs israéliens, dont des civils qui attendaient des distributions d'aide alimentaire.
Selon Mahmoud Bassal, douze personnes ont été tuées et près de 200 autres blessées quand les forces israéliennes ont ouvert le feu sur elles alors qu'elles se rassemblaient près d'un point de passage dans le nord de Gaza, utilisé pour l'acheminement de l'aide.
Six autres personnes ont été tuées et 30 blessées par des tirs israéliens lors de rassemblements de civils près du point de distribution d'aide de la GHF (Fondation humanitaire de Gaza) dans le centre de la bande de Gaza, a affirmé le porte-parole, faisant état d'autres victimes dans des frappes israéliennes sur d'autres secteurs dans le centre du territoire.
Deux autres personnes, dont une femme, ont été abattues par les forces israéliennes près d'un autre centre d'aide au nord-ouest de Rafah (sud), toujours selon la même source.
Source: AFP
Le plan israélien d'occupation de la ville de Gaza est une nouvelle «escalade»
Le plan israélien de prendre le contrôle de la ville de Gaza constitue une nouvelle «escalade» d'Israël qui menace la «stabilité régionale», a accusé samedi l'Autorité palestinienne.
«Les politiques d'Israël, y compris la réoccupation de Gaza, les tentatives d'annexion de la Cisjordanie et la judaïsation de Jérusalem, fermeront toutes les portes à la sécurité et à la stabilité tant au niveau régional que mondial», a estimé dans un communiqué le porte-parole de la présidence palestinienne, Nabil Abou Roudeina.
Nabil Abou Roudeina a dénoncé «le rejet par Israël des critiques internationales et des avertissements des puissances mondiales concernant l'escalade de la guerre contre le peuple palestinien», qualifiant ces actions «de défi sans précédent et de provocation à la volonté internationale de parvenir à la paix».
«La bande de Gaza fait partie intégrante de l'Etat de Palestine, tout comme Jérusalem et la Cisjordanie. Sans elle, il n'y aura pas d'Etat palestinien», affirme le porte-parole de la présidence.
Il a appelé «le Conseil de sécurité de l'ONU, à contraindre d'urgence» Israël «à cesser ses agressions, à permettre l'entrée de l'aide» dans Gaza. Il a également appelé l'administration américaine «à assumer ses responsabilités en empêchant Israël d'étendre la guerre et en stoppant le terrorisme des colons en Cisjordanie (...)».
Source: AFP
Téhéran accuse Israël de «nettoyage ethnique»
L'Iran a condamné vendredi le plan israélien pour le contrôle de la ville de Gaza, accusant Israël de «procéder à un nettoyage ethnique» dans le territoire palestinien.
Le plan israélien «est un autre signe clair de l'intention manifeste du régime sioniste de procéder à un nettoyage ethnique à Gaza et de commettre un génocide contre les Palestiniens», a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un communiqué.
Source: AFP
Pour la France, le plan israélien risque de mener à «une impasse absolue»
La France a condamné vendredi «dans les termes les plus forts» le plan du gouvernement israélien pour Gaza, soulignant que celui-ci risque de conduire à «une impasse absolue», selon une déclaration du ministère des Affaires étrangères.
Elle rappelle «sa ferme opposition à tout projet d'occupation de la bande de Gaza et de déplacement forcé de sa population» alors que l'armée israélienne se prépare à prendre le contrôle de la ville de Gaza, la plus importante du territoire palestinien, dans le but de «vaincre» le Hamas et d'assurer la libération des otages.
L'occupation intégrale de Gaza «aggraverait une situation déjà catastrophique sans permettre la libération des otages du Hamas, son désarmement et sa reddition», a estimé pour sa part le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot, dans un message posté sur X.
Source: AFP
Le plan pour Gaza «doit avoir des conséquences sur les relations UE-Israël», dénonce l'Europe
Le président du Conseil européen, Antonio Costa, a vivement critiqué vendredi le plan d'Israël pour Gaza, estimant qu'une «telle décision» devait avoir «des conséquences» sur les relations de l'UE avec Israël.
«La situation à Gaza reste dramatique, et la décision du gouvernement israélien ne fera que l'aggraver davantage", a déploré le dirigeant, qui préside l'institution réunissant les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE, sur le réseau social X.
Source: AFP
Plan pour Gaza: la Belgique convoque l'ambassadrice d'Israël
La Belgique a annoncé vendredi convoquer l'ambassadrice d'Israël après l'annonce du plan israélien pour Gaza. «L'objectif est clairement de témoigner de notre totale désapprobation quant à cette décision», a affirmé le ministre belge des Affaires étrangères, Maxime Prévot.
Source: AFP
Le plan israélien pour Gaza «coûtera cher» à Israël et aboutira au «sacrifice» des otages
Israël se prépare à commettre un «nouveau crime de guerre» avec son plan de prendre le contrôle de la ville de Gaza, «une aventure criminelle qui lui coûtera cher» et aboutira au «sacrifice des otages», a affirmé vendredi le Hamas.
«L'approbation par le cabinet sioniste des plans visant à occuper la ville de Gaza et à évacuer ses habitants constitue un nouveau crime de guerre que l'armée d'occupation souhaite commettre contre la ville et ses près d'un million d'habitants», a réagi le mouvement islamiste palestinien. «Cette aventure criminelle coûtera cher et ne sera pas un voyage facile» pour l'armée israélienne, ajoute ce communiqué diffusé sur Telegram.
27 otages présumés morts
La décision d'occuper la ville de Gaza, annoncée vendredi matin à l'issue d'une réunion du cabinet de sécurité du Premier ministre israélien, confirme que Benjamin Netanyahu et son gouvernement «ne se soucient pas du sort de leurs otages».
«Ils ont compris que l'extension de l'agression signifie leur sacrifice, révélant leur imprudence envers la vie des prisonniers pour des objectifs politiques ayant déjà échoué», soutien le mouvement islamiste, qui retient toujours 49 otages, dont 27 sont présumés morts, depuis son attaque sanglante le 7 octobre 2023 depuis Gaza en territoire israélien.
Source: AFP
Le Hamas serait prêt à conclure un accord sur la libération des otages
Peu après la décision d'Israël d'étendre la guerre à Gaza, le Hamas a pris la parole. Selon une publication d'AlArabyia sur X, le Hamas serait prêt à conclure un accord pour libérer tous les otages israéliens. «Nous sommes prêts à conclure un accord global pour libérer immédiatement tous les otages israéliens», peut-on y lire.
On ignore encore les détails de cet accord et la date à laquelle les otages pourraient être libérés si le Hamas tient sa promesse.
L'Espagne et la Turquie condamne également le plan du gouvernement israélien
«Nous condamnons fermement la décision du gouvernement israélien d'intensifier l'occupation militaire de Gaza», a déclaré le ministre espagnol des Affaires étrangères, Manuel Albares, estimant que ce plan «ne provoquerait que davantage de destruction et de souffrance».
«Un cessez-le-feu permanent, l'entrée massive et immédiate d'aide humanitaire et la libération de tous les otages sont urgents. La paix définitive dans la région ne sera atteinte qu'en établissant la solution de deux États, qui inclut un État de Palestine réaliste et viable», a-t-il ajouté sur X.
La Turquie a, elle aussi, «appelé la communauté internationale à assumer ses responsabilités en vue d'empêcher la mise en oeuvre» du plan israélien. Celui-ci «vise à déplacer de force les Palestiniens de leur propre terre en rendant Gaza inhabitable», a estimé le ministère turc des Affaires étrangères dans un communiqué.
Source: ATS
Des milliers de manifestants à Tel-Aviv refusent la prise de contrôle de Gaza
Des dizaines de milliers de manifestants sont descendus samedi à Tel-Aviv pour appeler à la fin de la guerre dans la bande de Gaza, au lendemain de l'annonce du plan israélien pour la conquête de la ville de Gaza, la plus grande du territoire palestinien.
Samedi à Tel-Aviv, les journalistes de l'AFP présents sur place ont estimé à des dizaines de milliers le nombre des manifestants, le Forum des familles des otages faisant état de 100'000 participants. Les autorités n'ont pas fourni d'estimation officielle.
Les manifestants brandissaient des pancartes et des photos des otages toujours détenus dans le territoire palestinien, exhortant le gouvernement à obtenir leur libération.
«Si vous envahissez certaines parties de Gaza et que les otages sont tués, nous vous poursuivrons sur les places publiques, pendant les campagnes électorales et à tout moment et en tout lieu», a déclaré à l'AFP Shahar Mor Zahiro, un proche d'un otage tué, dans un «message direct au Premier ministre».
Les familles des otages et les militants israéliens en faveur de la paix avec les Palestiniens réclament un cessez-le-feu avec le Hamas pour obtenir la libération des derniers captifs.
Le plan de Netanyahu
Après 22 mois de guerre, le Premier ministre Benjamin Netanyahu est confronté à une très forte pression en Israël et de l'étranger pour mettre fin à son offensive dans la bande de Gaza, où plus de 2 millions de Palestiniens sont menacés d'une «famine généralisée», selon l'ONU.
Selon le plan validé par le cabinet de sécurité israélien, l'armée «se prépare à prendre le contrôle de la ville de Gaza», une agglomération en grande partie détruite dans le nord du territoire, «tout en distribuant une aide humanitaire à la population civile en dehors des zones de combat».
Source: AFP
La Russie «condamne et rejette» le plan israélien d'occupation de la ville de Gaza
La Russie a condamné samedi le plan israélien de prendre le contrôle de la ville de Gaza, estimant qu'une telle initiative risque d'aggraver la «catastrophe humanitaire» en cours dans l'enclave palestinienne.
«La mise en oeuvre de telles décisions et de tels plans, qui suscitent la condamnation et le rejet, risque d'aggraver la situation déjà dramatique dans l'enclave palestinienne, qui présente tous les signes d'une catastrophe humanitaire», a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
Source: AFP
La Défense civile fait état de 37 Palestiniens tués par des tirs et frappes israéliens
Le porte-parole de la Défense civile de la bande de Gaza, Mahmoud Bassal, a fait état de 37 personnes tuées samedi par des frappes ou des tirs israéliens, dont des civils qui attendaient des distributions d'aide alimentaire.
Selon Mahmoud Bassal, douze personnes ont été tuées et près de 200 autres blessées quand les forces israéliennes ont ouvert le feu sur elles alors qu'elles se rassemblaient près d'un point de passage dans le nord de Gaza, utilisé pour l'acheminement de l'aide.
Six autres personnes ont été tuées et 30 blessées par des tirs israéliens lors de rassemblements de civils près du point de distribution d'aide de la GHF (Fondation humanitaire de Gaza) dans le centre de la bande de Gaza, a affirmé le porte-parole, faisant état d'autres victimes dans des frappes israéliennes sur d'autres secteurs dans le centre du territoire.
Deux autres personnes, dont une femme, ont été abattues par les forces israéliennes près d'un autre centre d'aide au nord-ouest de Rafah (sud), toujours selon la même source.
Source: AFP
Le plan israélien d'occupation de la ville de Gaza est une nouvelle «escalade»
Le plan israélien de prendre le contrôle de la ville de Gaza constitue une nouvelle «escalade» d'Israël qui menace la «stabilité régionale», a accusé samedi l'Autorité palestinienne.
«Les politiques d'Israël, y compris la réoccupation de Gaza, les tentatives d'annexion de la Cisjordanie et la judaïsation de Jérusalem, fermeront toutes les portes à la sécurité et à la stabilité tant au niveau régional que mondial», a estimé dans un communiqué le porte-parole de la présidence palestinienne, Nabil Abou Roudeina.
Nabil Abou Roudeina a dénoncé «le rejet par Israël des critiques internationales et des avertissements des puissances mondiales concernant l'escalade de la guerre contre le peuple palestinien», qualifiant ces actions «de défi sans précédent et de provocation à la volonté internationale de parvenir à la paix».
«La bande de Gaza fait partie intégrante de l'Etat de Palestine, tout comme Jérusalem et la Cisjordanie. Sans elle, il n'y aura pas d'Etat palestinien», affirme le porte-parole de la présidence.
Il a appelé «le Conseil de sécurité de l'ONU, à contraindre d'urgence» Israël «à cesser ses agressions, à permettre l'entrée de l'aide» dans Gaza. Il a également appelé l'administration américaine «à assumer ses responsabilités en empêchant Israël d'étendre la guerre et en stoppant le terrorisme des colons en Cisjordanie (...)».
Source: AFP
Téhéran accuse Israël de «nettoyage ethnique»
L'Iran a condamné vendredi le plan israélien pour le contrôle de la ville de Gaza, accusant Israël de «procéder à un nettoyage ethnique» dans le territoire palestinien.
Le plan israélien «est un autre signe clair de l'intention manifeste du régime sioniste de procéder à un nettoyage ethnique à Gaza et de commettre un génocide contre les Palestiniens», a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un communiqué.
Source: AFP
Pour la France, le plan israélien risque de mener à «une impasse absolue»
La France a condamné vendredi «dans les termes les plus forts» le plan du gouvernement israélien pour Gaza, soulignant que celui-ci risque de conduire à «une impasse absolue», selon une déclaration du ministère des Affaires étrangères.
Elle rappelle «sa ferme opposition à tout projet d'occupation de la bande de Gaza et de déplacement forcé de sa population» alors que l'armée israélienne se prépare à prendre le contrôle de la ville de Gaza, la plus importante du territoire palestinien, dans le but de «vaincre» le Hamas et d'assurer la libération des otages.
L'occupation intégrale de Gaza «aggraverait une situation déjà catastrophique sans permettre la libération des otages du Hamas, son désarmement et sa reddition», a estimé pour sa part le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot, dans un message posté sur X.
Source: AFP
Le plan pour Gaza «doit avoir des conséquences sur les relations UE-Israël», dénonce l'Europe
Le président du Conseil européen, Antonio Costa, a vivement critiqué vendredi le plan d'Israël pour Gaza, estimant qu'une «telle décision» devait avoir «des conséquences» sur les relations de l'UE avec Israël.
«La situation à Gaza reste dramatique, et la décision du gouvernement israélien ne fera que l'aggraver davantage", a déploré le dirigeant, qui préside l'institution réunissant les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE, sur le réseau social X.
Source: AFP
Plan pour Gaza: la Belgique convoque l'ambassadrice d'Israël
La Belgique a annoncé vendredi convoquer l'ambassadrice d'Israël après l'annonce du plan israélien pour Gaza. «L'objectif est clairement de témoigner de notre totale désapprobation quant à cette décision», a affirmé le ministre belge des Affaires étrangères, Maxime Prévot.
Source: AFP
Le plan israélien pour Gaza «coûtera cher» à Israël et aboutira au «sacrifice» des otages
Israël se prépare à commettre un «nouveau crime de guerre» avec son plan de prendre le contrôle de la ville de Gaza, «une aventure criminelle qui lui coûtera cher» et aboutira au «sacrifice des otages», a affirmé vendredi le Hamas.
«L'approbation par le cabinet sioniste des plans visant à occuper la ville de Gaza et à évacuer ses habitants constitue un nouveau crime de guerre que l'armée d'occupation souhaite commettre contre la ville et ses près d'un million d'habitants», a réagi le mouvement islamiste palestinien. «Cette aventure criminelle coûtera cher et ne sera pas un voyage facile» pour l'armée israélienne, ajoute ce communiqué diffusé sur Telegram.
27 otages présumés morts
La décision d'occuper la ville de Gaza, annoncée vendredi matin à l'issue d'une réunion du cabinet de sécurité du Premier ministre israélien, confirme que Benjamin Netanyahu et son gouvernement «ne se soucient pas du sort de leurs otages».
«Ils ont compris que l'extension de l'agression signifie leur sacrifice, révélant leur imprudence envers la vie des prisonniers pour des objectifs politiques ayant déjà échoué», soutien le mouvement islamiste, qui retient toujours 49 otages, dont 27 sont présumés morts, depuis son attaque sanglante le 7 octobre 2023 depuis Gaza en territoire israélien.
Source: AFP
Le Hamas serait prêt à conclure un accord sur la libération des otages
Peu après la décision d'Israël d'étendre la guerre à Gaza, le Hamas a pris la parole. Selon une publication d'AlArabyia sur X, le Hamas serait prêt à conclure un accord pour libérer tous les otages israéliens. «Nous sommes prêts à conclure un accord global pour libérer immédiatement tous les otages israéliens», peut-on y lire.
On ignore encore les détails de cet accord et la date à laquelle les otages pourraient être libérés si le Hamas tient sa promesse.
L'Espagne et la Turquie condamne également le plan du gouvernement israélien
«Nous condamnons fermement la décision du gouvernement israélien d'intensifier l'occupation militaire de Gaza», a déclaré le ministre espagnol des Affaires étrangères, Manuel Albares, estimant que ce plan «ne provoquerait que davantage de destruction et de souffrance».
«Un cessez-le-feu permanent, l'entrée massive et immédiate d'aide humanitaire et la libération de tous les otages sont urgents. La paix définitive dans la région ne sera atteinte qu'en établissant la solution de deux États, qui inclut un État de Palestine réaliste et viable», a-t-il ajouté sur X.
La Turquie a, elle aussi, «appelé la communauté internationale à assumer ses responsabilités en vue d'empêcher la mise en oeuvre» du plan israélien. Celui-ci «vise à déplacer de force les Palestiniens de leur propre terre en rendant Gaza inhabitable», a estimé le ministère turc des Affaires étrangères dans un communiqué.
Source: ATS