Pour le Canada, la présence de l'Ukraine au G7 Finances est «un message fort»
La présence de l'Ukraine au premier jour du G7 Finances au Canada est un «message fort» pour le reste du monde, a déclaré mardi le ministre canadien des Finances François-Philippe Champagne au côté de son homologue ukrainien.
La venue du ministre Sergii Marchenko «est un message très fort d'unité du G7 en soutien à l'Ukraine», a affirmé le ministre canadien lors de la conférence de presse d'ouverture de l'évènement.
Source: AFP
Le nouveau pape serait prêt à accueillir des pourparlers sur l'Ukraine, selon Meloni
La Première ministre italienne Giorgia Meloni a assuré mardi soir que le pape Léon XIV lui a confirmé au cours d'une conversation téléphonique la disponibilité du Vatican à accueillir des négociations de paix sur l'Ukraine.
«L'entretien fait suite à l'appel téléphonique d'hier avec le président (américain Donald) Trump et d'autres leaders européens au cours duquel il a été demandé» à Meloni «de vérifier la disponibilité du Saint-Siège à accueillir les négociations», indique un message sur WhatsApp des services de la cheffe du gouvernement italien.
«Trouvant auprès du Saint Père la disponibilité à accueillir au Vatican les prochaines discussions entre les parties», Meloni a remercié le pape pour «son engagement incessant en faveur de la paix», précise le message de ce jour.
Source: AFP
Rubio attend de la Russie ses termes en vue d'un cessez-le-feu «dans quelques jours»
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a dit mardi s'attendre à ce que la Russie présente ses termes en vue d'un cessez-le-feu en Ukraine «dans quelques jours».
«A un moment donné, assez rapidement, peut-être dans quelques jours, peut-être cette semaine, la partie russe va présenter les termes qu'elle souhaiterait voir» pour avancer vers un cessez-le-feu, a déclaré Marco Rubio devant une commission sénatoriale.
Source: AFP
Les Etats-Unis ne font aucune «concession» à Poutine
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a assuré mardi que les Etats-Unis n'ont fait aucune «concession» à la Russie, en réponse aux critiques de la politique de l'administration Trump vis-à-vis du conflit en Ukraine.
«Il n'a pas obtenu la moindre concession», a déclaré Marco Rubio à propos du président russe Vladimir Poutine, devant la commission des Affaires étrangères du Sénat.
Source: AFP
L'UE adopte formellement un 17e paquet de sanctions contre la Russie
L'Union européenne a adopté mardi un 17e paquet de sanctions contre la Russie, qui cible de nouveaux navires pétroliers «fantômes» utilisés pour contourner les sanctions déjà existantes contre les exportations de pétrole russe, a annoncé la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.
«L'UE a approuvé son 17e 'paquet' de sanctions contre la Russie, qui vise près de 200 navires de sa flotte fantôme», a-t-elle écrit sur X, en marge d'une réunion des ministres de la Défense de l'UE à Bruxelles. «D'autres sanctions à l'encontre de la Russie sont en préparation. Plus la Russie mènera la guerre, plus notre réponse sera sévère», a-t-elle ajouté.
Source: AFP
Zelensky accuse la Russie «d'essayer de gagner du temps» pour «poursuivre» son invasion
Volodymyr Zelensky a accusé mardi la Russie «d'essayer de gagner du temps» en faisant traîner les discussions en vue d'un cessez-le-feu dans le seul but de «poursuivre» son invasion de l'Ukraine, au lendemain d'un entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump sans résultats tangibles.
«Il est évident que la Russie tente de gagner du temps afin de poursuivre sa guerre et son occupation», a estimé sur les réseaux sociaux le président ukrainien, dénonçant les «conditions irréalistes» de Moscou pour une éventuelle cessation de combats.
Source: AFP
L'appel avec Trump a montré que Poutine n'était «pas prêt» à faire des concessions
L'entretien téléphonique entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine a montré que ce dernier n'était «pas prêt à des concessions» sur l'Ukraine, a déclaré mardi le ministre allemand de la Défense Boris Pistorius.
«Il n'est toujours pas prêt à faire des concessions et ne parle que d'un cessez-le-feu à ses conditions», a-t-il déclaré à son arrivée à Bruxelles pour une réunion des ministres de la Défense de l'UE.
Source: AFP
L'UE espère une «réaction forte» de Washington si Moscou refuse un cessez-le-feu
L'Union européenne espère une «réaction forte» de la part des Etats-Unis si la Russie continue à refuser un cessez-le-feu en Ukraine, a déclaré mardi la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.
«Les Etats-Unis ont déclaré que si la Russie n'acceptait pas un cessez-le-feu inconditionnel, il y aurait des conséquences. Nous voulons donc voir ces conséquences», a-t-elle déclaré peu avant le début d'une réunion des ministres de la Défense de l'UE à Bruxelles.
Source: AFP
Zelensky déclare ne pas être au courant pour le moment des détails du «mémorandum» avec Moscou
Volodymyr Zelensky a dit lundi avoir demandé à Trump qu'il ne prenne «aucune décision» sur l'Ukraine sans l'aval de Kiev.
A l'issue de l'appel il a ajout que l'Ukraine n'acceptera pas de retirer son armée des régions qu'elle contrôle. Il a également dit ne pas avoir de détails sur un éventuel «mémorandum» avec Moscou, mais se dit prêt à étudier l'offre russe.
«Pour l'instant, je n'en sais rien», a-t-il reconnu lors d'une conférence de presse à Kiev. «Une fois que nous aurons reçu le mémorandum ou les propositions des Russes, nous serons en mesure de formuler notre vision en conséquence, telle que nous la concevons», a-t-il ajouté. Il précise également que des nouvelles sanctions américaine seraient «déterminantes» sur la capacité de Moscou de poursuivre l'invasion.
Le président russe Vladimir Poutine «bénéficierait» d'un éventuel désengagement américain des pourparlers de paix sur l'Ukraine, a-t-il encore mis en garde.
Source: AFP
Les Européens vont renforcer leurs sanctions contre la Russie après l'entretien Trump-Poutine
Les principaux alliés européens de l'Ukraine se sont entendus pour «accroître la pression» sur Moscou en renforçant les sanctions, a indiqué lundi le gouvernement allemand après l'entretien entre Donald Trump et Vladimir Poutine.
Après son entretien avec Poutine, Trump s'est entretenu avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le président français Emmanuel Macron, le président finlandais Alexander Stubb, le chancelier allemand Friedrich Merz, la Première ministre italienne Giorgia Meloni et la présidente de l'UE Ursula von der Leyen.
Selon le compte-rendu officiel de cet entretien fourni par le porte-parole de Merz, «les participants ont annoncé qu'ils allaient accroître la pression sur la partie russe par le biais de sanctions», semblant suggérer une divergence d'approche avec Washington.
Le compte rendu de l'appel indique en outre que les dirigeants «ont discuté des prochaines étapes» et «ont souligné leur volonté d'accompagner étroitement l'Ukraine sur la voie d'un cessez-le-feu».
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis vendredi d'accroître la pression sur Moscou jusqu'à ce que le président russe soit «prêt pour la paix» dans les discussions avec l'Ukraine.
Source: AFP
Les négociateurs ukrainien et russe se sont appelés pour parler de l'échange prévu de prisonniers
Volodymyr Zelensky a affirmé que les négociateurs en chef ukrainien et russe se sont appelés lundi pour parler de l'échange de prisonniers prévu entre les deux camps, trois jours après l'annonce de cette opération à l'issue de pourparlers bilatéraux en Turquie.
Le ministre ukrainien de la Défense Roustem Oumerov «s'est entretenu avec la partie russe, avec le chef de leur délégation Vladimir Medinski», a déclaré Zelensky lors d'une conférence de presse, disant espérer «un résultat dans les jours ou les semaines à venir». Vendredi, Moscou et Kiev avaient annoncé s'être mis d'accord sur un échange de prisonniers «1000 contre 1000».
Source: ATS
Poutine dit avoir eu une conversation «utile» avec Trump sur l'Ukraine
Comme le rapporte l'agence de presse russe TASS, l'entretien téléphonique entre le président américain Trump et le président russe Poutine est terminé. La conversation a duré environ deux heures. Après l’appel, Poutine a déclaré : «Ce fut une conversation ouverte et très utile, nous sommes sur la bonne voie».
Un cessez-le-feu ne serait toutefois possible qu'une fois des accords appropriés conclus, a déclaré Poutine à Trump. La Russie se dit «prête à travailler» avec l'Ukraine sur un «mémorandum» concernant «un possible traité de paix».
Le président américain a déclaré que la Russie et l'Ukraine vont «démarrer immédiatement des négociations en vue d'un cessez-le-feu».
