«Bonjour [insérez prénom]. Je m'appelle Matthias Davet/Grégory Beaud et je travaille pour Blick en Romandie. Je serai présent aux JO de Paris. Nous souhaitons faire une série d'interview avec tous les athlètes romands sélectionnés. Le but? 10 questions qui seront posées à tout le monde. Est-ce que vous auriez un peu de temps à me consacrer pour s'appeler? Merci et bonne journée.»
Voici le message qu'ont reçu les 37 athlètes romands qui participeront aux Jeux de Paris. Tous (sauf Stan Wawrinka) nous ont répondu et ont joué le jeu. Durant l'intégralité des Jeux de Paris et le jour même de leur première apparition, retrouvez les interviews décalées des Romands sur Blick.
Pour retrouver les autres «10 questions à» déjà publiés, c'est par ici.
«Bonjour [insérez prénom]. Je m'appelle Matthias Davet/Grégory Beaud et je travaille pour Blick en Romandie. Je serai présent aux JO de Paris. Nous souhaitons faire une série d'interview avec tous les athlètes romands sélectionnés. Le but? 10 questions qui seront posées à tout le monde. Est-ce que vous auriez un peu de temps à me consacrer pour s'appeler? Merci et bonne journée.»
Voici le message qu'ont reçu les 37 athlètes romands qui participeront aux Jeux de Paris. Tous (sauf Stan Wawrinka) nous ont répondu et ont joué le jeu. Durant l'intégralité des Jeux de Paris et le jour même de leur première apparition, retrouvez les interviews décalées des Romands sur Blick.
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Progressif, car j'ai toujours été vers le haut. Résilience, car j'ai eu pas mal de blessures, mais aussi de hauts et de bas. Mais aussi positif: j'ai jusqu'à maintenant réussir à accomplir certains objectifs que je m'étais fixée.
Je vois tellement de photos, souvenirs, que je ne sais plus ce qui est de ma mémoire ou pas. Mais je crois me souvenir que je jouais quand j'étais toute petite, au Mexique. Un des souvenirs les plus livides, c'est quand j'avais 10 ans et que j'ai réussi à passer mon premier bunker. J'étais trop fière de moi.
Les JO. Aucun doute là-dessus. Personne ne s'attendait à ce que je me qualifie, et ça a été magique comme expérience.
De rester dans mon processus. J'essaie d'être assez calme, sans trop me projeter.
Absolument aucune. Ma superstition, c'est de casser toute superstition qui peut venir. Petite, je ne jouais que des balles 1 et 3. Par contre, mon père est beaucoup plus superstitieux – je le laisse ranger les clubs.
Ce qui choque le plus mes amis, c'est tout le matériel de récupération. Les bottes de compression, des sels pour les bains, etc. C'est 50% de ma valise.
Il faut avoir ça comme rêve, mais également avoir des objectifs à court-terme. C'est difficile de penser à ça durant quatre ans. Il y a tellement d'étapes avant ça qu'il faut se focaliser sur le moment présent.
J'adore la vieille ville. J'étais à l'école Moser et à la pause de midi, tout le monde allait en ville. Là, il y avait notre QG: la pizzeria Da Paolo, où il faisait des super foccacia. Mais de manière générale, il n'y a rien de mieux que Genève en Suisse.
Celle que je trouve incroyable, c'est la gymnastique. Je n'ai aucune souplesse, mais c'est magique comme sport. C'est une discipline qui me fascine.
J'ai gagné un concours de danse du rock à 16 ans (rires).