Trump prend la Suisse comme exemple pour attaquer l'immigration
Parmi les divers sujets que Trump a abordé, il s'est attardé à plusieurs reprises sur l'immigration. «J’adore l’Europe mais je déteste voir qu’ils sont en péril avec l’immigration massive et qu’on laisse tout ça se produire sans réagir. Vous allez finir en enfer et détruire l’héritage de l’humanité.»
Le président américain a poursuivi en prenant la Suisse en exemple: «Dans la belle Suisse, 72% des personnes emprisonnées ne sont pas suisses. Cela en dit beaucoup sur la situation du pays. Ce pays est en train de sombrer.»
Donald Trump tacle l'ONU et s'offre le mérite d'avoir mis fin à sept guerres
«La seule chose que l'on a de l'ONU ce sont des déclarations pour mettre fin à la guerre. Mais ce qui met fin à la guerre c'est l'action», a assuré Donald Trump devant l'Assemblée de l'ONU, n'hésitant pas à critiquer les Nations Unies.
«Tout ce que nous avons reçu de l'ONU c'est un ascenseur défectueux et un prompteur hors service», a poursuivi le président américain. «On ne nous a pas remercié pour avoir sauvé des millions de vies. Mais ce qui compte ce n'est pas la récompense, c'est de sauver des vies.»
«Le changement climatique est un scam», selon Donald Trump
Donald Trump s'est lancé dans une tirade sur le climat, devant le public onusien, après plus de 45 minutes de discours (dépassant de ce fait le temps requis de 15 minutes maximum), accusant le «tout vert» de mener à «la banqueroute».
«C’est la plus grande manipulation jamais lancée. Le changement climatique, avec l'interdiction du forage et de l’usage du charbon, tout ça nous mène à la faillite. C’est mauvais. Ça a été décidé par de mauvais dirigeants. Le changement climatique est un scam, un scandale...», a poursuivi le président américain connu pour ses positions climato-sceptiques.
Trump annonce une nouvelle convention américaine sur les armes biologiques
Donald Trump annonce un nouvel effort de la part des Etats-Unis envers les armes biologiques, par une convention. «Nous voulons une cessation du développement des armes nucléaires», a-t-il appelé.
Les Etats-Unis développent eux-mêmes de nouvelles variantes de leur stock d'armes anciennes.
Source: NYT
Trump rappelle qu'il devrait recevoir le Prix Nobel de la Paix
Le président américain a rappelé devant l'Assemblée générale de l'ONU, qu'après avoir «mis fin à sept conflits, de l'Israël contre l'Iran au Cambodge contre la Thaïlande», «certains veulent que je reçoive le Prix Nobel de la Paix».
Le président américain s'exprime devant l'Assemblée de l'ONU... sans prompteur
Le discours du président américain démarre à l'Assemblée générale de l'ONU. Son temps de parole est limité, comme les autres intervenants, à 15 minutes. La prise de parole a démarré avec un petit problème technique, Donald Trump se trouvant sans prompteur.
«Ca ne me dérange pas de faire ce discours sans prompteur. Celui qui se trouve derrière ce prompteur est dans une situation délicate», a-t-il lancé. Des rires ont fusé dans la salle.
Source: BFMTV
Donald Trump, un cauchemar pour les interprètes?
Alors que Donald Trump s'apprête à prendre la parole à l'ONU, des interprètes de nombreux pays non-anglophones vont être mobilisés pour traduire en direct le discours du président américain.
Certains d'entre eux ont confié à BFMTV, les difficultés d'une telle mission quand Donald Trump s'exprime face à la presse.
Source: BFMTV
Pour Trump, la reconnaissance d'un Etat de Palestine est une «récompense pour le Hamas»
Donald Trump a déjà fait savoir son opposition à la reconnaissance de l'Etat de Palestine par certains pays comme le Canada, le Royaume-Uni ou encore la France. «Cela ne contribue en rien à la libération des otages, pourtant l'objectif principal à Gaza actuellement», a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt.
«Il estime que c'est une récompense pour le Hamas», a-t-elle ajouté, peu avant la prise de parole du président américain à l'ONU.
Source: BFM
Trump estime que les médias «contre lui» devraient perdre «leur licence»
Donald Trump a une nouvelle fois attaqué les grands médias, peu après la suspension de l'émission de Jimmy Kimmet, animateur star outre-Atlantique, rapporte le média américain Politico. Jeudi, le président américain a laissé entendre que certaines chaînes pourraient perdre leur licence de diffusion si leurs animateurs se montraient trop critiques à son égard.
«Ils me donnent toute cette mauvaise presse, et ils ont une licence», a-t-il déclaré à des journalistes à bord d’Air Force One, interrogé sur le cas de Jimmy Kimmel, récemment suspendu. «Je pense peut-être que leur licence devrait leur être retirée.»
Et d’ajouter : «Quand vous avez une chaîne avec des émissions du soir et que tout ce qu’ils font, c’est taper sur Trump,c’est tout ce qu’ils font – cette licence, ils n’ont pas le droit de faire ça. Ils sont un bras du Parti démocrate.»
Source: Politico
Donald Trump atterrit au Royaume-Uni pour sa deuxième visite d'Etat
Donald Trump a atterri mardi soir à l'aéroport londonien de Stansted pour sa deuxième visite d'Etat au Royaume-Uni, où il sera accueilli en grande pompe pendant deux jours à l'invitation du roi Charles III.
la cheffe de la diplomatie britannique, Yvette Cooper était présente à Stansted quand l'avion présidentiel Air Force One s'est posé à 21H07 locales (20H07 GMT). Avant de quitter Washington, Trump s'est réjoui du «grand honneur» de cette deuxième visite, une première pour un président américain.
Source: AFP
Le Sénat confirme la nomination d'un proche de Trump à la Fed
Le Sénat américain a approuvé lundi la nomination par le président Donald Trump d'un de ses conseillers économiques à la Réserve fédérale (Fed), à quelques heures d'une réunion clé de la banque centrale des Etats-Unis.
Tenu par la majorité présidentielle républicaine, le Sénat a voté à 48 voix contre 47 pour confirmer à ce poste Stephen Miran, qui devra prêter serment in extremis afin de siéger mardi et mercredi à la réunion au cours de laquelle, toutes les six semaines, la banque centrale des Etats-Unis décide du niveau de ses taux directeurs.
Les opposants démocrates étaient opposés à sa nomination, craignant qu'il ne fasse qu'appliquer les desiderata de Donald Trump, au sein d'une institution censée rester indépendante. A la tête du Comité des conseillers économiques (CEA) de la Maison Blanche, Stephen Miran est l'un des architectes et défenseurs de la politique économique du président républicain.
Lors de son audition au Sénat, il a estimé, à rebours de la majorité des économistes, qu'il n'y avait «pas eu d'augmentation détectable du niveau global des prix à la suite de l'instauration de droits de douane» par l'exécutif américain.
Source: AFP
Gifle pour Trump! Une cour d'appel rejette le renvoi d'une figure de la Fed
Une cour d’appel fédérale a rejeté, lundi, la demande de Donald Trump visant à évincer dans l’urgence Lisa Cook, membre du conseil d’administration de la Réserve fédérale (Fed). Le président américain ne dispose plus que de quelques heures pour saisir la Cour suprême, avant la réunion décisive de mardi matin sur les taux d’intérêt.
Comme le rapporte Politico, la cour d’appel du District de Columbia a estimé par deux voix contre une que Lisa Cook, nommée par Joe Biden et visée par une tentative de révocation le mois dernier, devait rester en poste pour l’instant.
La décision n’est pas définitive, la Cour suprême étant attendue pour trancher.
Source: Politico