«Bonjour [insérez prénom]. Je m'appelle Matthias Davet/Grégory Beaud et je travaille pour Blick en Romandie. Je serai présent aux JO de Paris. Nous souhaitons faire une série d'interview avec tous les athlètes romands sélectionnés. Le but? 10 questions qui seront posées à tout le monde. Est-ce que vous auriez un peu de temps à me consacrer pour s'appeler? Merci et bonne journée.»
Voici le message qu'ont reçu les 37 athlètes romands qui participeront aux Jeux de Paris. Tous (sauf Stan Wawrinka) nous ont répondu et ont joué le jeu. Durant l'intégralité des Jeux de Paris et le jour même de leur première apparition, retrouvez les interviews décalées des Romands sur Blick.
Pour retrouver les autres «10 questions à» déjà publiés, c'est par ici.
«Bonjour [insérez prénom]. Je m'appelle Matthias Davet/Grégory Beaud et je travaille pour Blick en Romandie. Je serai présent aux JO de Paris. Nous souhaitons faire une série d'interview avec tous les athlètes romands sélectionnés. Le but? 10 questions qui seront posées à tout le monde. Est-ce que vous auriez un peu de temps à me consacrer pour s'appeler? Merci et bonne journée.»
Voici le message qu'ont reçu les 37 athlètes romands qui participeront aux Jeux de Paris. Tous (sauf Stan Wawrinka) nous ont répondu et ont joué le jeu. Durant l'intégralité des Jeux de Paris et le jour même de leur première apparition, retrouvez les interviews décalées des Romands sur Blick.
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Sacrifice, passion et détermination. Je suis partie à Lausanne à 16 ans pour m'entraîner. C'est sans doute le plus grand sacrifice que j'ai fait, même s'il y en a aussi plus petits comme ne pas sortir avec des amis un soir. Mais je ne regrette pas. Pour l'instant, j'ai toujours la passion. Et j'arrive à chaque compétition avec la détermination de vouloir être en forme.
Mon premier entraînement au CA Sion. Je faisais l'école de cirque à ce moment. J'ai commencé à vraiment apprécier et découvrir avec mes frères.
J'en ai beaucoup. Si je dois en choisir un seul, c'est peut-être quand j'ai appris ma sélection aux JO. Si on parle de moments où j'ai couru, ce serait quand j'étais dans le programme principal d'Athletissima avec le relais U23. J'ai pu courir avec les grandes, avec mes idoles.
Ça dépend. Quand je me réveille, je suis assez excitée – j'ai hâte d'être sur la piste. Parfois, je pense à un chrono que j'aimerais bien faire à cette course.
J'en ai beaucoup (rires). Je mets toujours les mêmes chaussettes à mes courses, qui ont un motif léopard, comme ça je cours vite (rires). J'ai aussi le même t-shirt de Naples que j'ai reçu de mon copain et j'écris avant chaque course à mes parents et à mon copain – toujours le même message. Mais ça je vais le garder pour moi.
Je ne sais pas si je vais mettre quelque chose d'étrange. Je vais prendre mon doudou, qui est en forme de chien. Je l'ai depuis ma naissance… donc il a plus vraiment cette forme (rires). Mais il a mon odeur.
Il faut croire en ses rêves et tout donner pour réussir.
Depuis que je suis partie à Lausanne, je dirais que c'est Lens, où habite toujours ma famille. Et sinon Martigny, là où mon copain habite.
Un sport que j'ai en tête, c'est le football. Ce n'est pas celui que j'apprécie le plus mais je ne suis pas mauvaise. Il y a des petits mouvements que j'arrive à faire. Et bon, tu dois courir assez rapidement. Je me débrouillerais pas si mal que ça je pense.
J'ai un très très grand chien. C'est un dogue allemand du nom de Ummo. Oui, il fait peur, mais il est adorable et il ne va faire de mal à personne.