À sa grande époque, Jérôme Boateng faisait l'unanimité sur le terrain. L'Allemand faisait partie des meilleurs défenseurs du monde et nul ne doutait de sa classe. Sauf que depuis, beaucoup de choses ont changé pour lui. D'ailleurs, ce n'est pas un hasard s'il y a peu, les supporters du Bayern Munich n'avaient pas voulu que celui qui a disputé 363 matches sous ces couleurs revienne au club. «Quiconque donne une plateforme au coupable est complice. Boateng, casse-toi!», pouvait-on lire sur des banderoles déployées il y a quelques semaines par les ultras à l'Allianz Arena. Jérôme Boateng avait émis le souhait de venir s'inspirer de Vincent Kompany, l'entraîneur bavarois.
Mais depuis quelques années, l'Allemand est devenu persona non grata du côté du club munichois. En 2019, une enquête a été ouverte pour des allégations de violence conjugales sur Jérôme Boateng. Bien que celle-ci n'ait pas abouti, elle a été rouverte deux ans plus tard, à la suite du suicide de Kasia Lenhardt, l'ex-compagne de l'Allemand. «Des indices laissaient penser que la victime avait été grièvement blessée par l'accusé peu avant son décès, et ces blessures auraient pu être relevées dans le rapport d'autopsie», rapportait le «Kronen Zeitung» à l'époque. Finalement, l'enquête a été classée sans suite.
Si vos ruminations ou votre angoisse impactent votre qualité de vie, n’hésitez jamais à demander de l’aide. Vous n’êtes pas seul, de nombreuses personnes traversent la même situation que vous, et des ressources existent pour trouver du soutien. Vous pouvez notamment faire appel au service 24h sur 24 de la Main tendue (143), dédiée à l’aide aux personnes en détresse. Les plateformes Pro Juventute (147) ou On t’écoute proposent des conseils et du soutien aux jeunes ou aux parents. Si vous broyez du noir ou si une personne de votre entourage présente des signes d'alarme, vous pouvez vous tourner vers l'association STOP SUICIDE, active dans tous les cantons romands.
D’autres dispositifs cantonaux sont également disponibles, comme le réseau fribourgeois de santé mentale, le réseau d’entraide Valais ou encore le centre neuchâtelois de psychiatrie. En cas d'urgence médicale, contactez le 144, ou la police au 117.
Si vos ruminations ou votre angoisse impactent votre qualité de vie, n’hésitez jamais à demander de l’aide. Vous n’êtes pas seul, de nombreuses personnes traversent la même situation que vous, et des ressources existent pour trouver du soutien. Vous pouvez notamment faire appel au service 24h sur 24 de la Main tendue (143), dédiée à l’aide aux personnes en détresse. Les plateformes Pro Juventute (147) ou On t’écoute proposent des conseils et du soutien aux jeunes ou aux parents. Si vous broyez du noir ou si une personne de votre entourage présente des signes d'alarme, vous pouvez vous tourner vers l'association STOP SUICIDE, active dans tous les cantons romands.
D’autres dispositifs cantonaux sont également disponibles, comme le réseau fribourgeois de santé mentale, le réseau d’entraide Valais ou encore le centre neuchâtelois de psychiatrie. En cas d'urgence médicale, contactez le 144, ou la police au 117.
Dans un documentaire diffusé sur ARD, Jérôme Boateng parle de cette affaire. «J'ai perdu une personne que j'aimais beaucoup, souffle-t-il à la télévision allemande. Je suis encore en plein deuil.» Le défenseur explique s'exprimer pour «simplement partager mon point de vue après toutes ces années».