«Bonjour [insérez prénom]. Je m'appelle Matthias Davet/Grégory Beaud et je travaille pour Blick en Romandie. Je serai présent aux JO de Paris. Nous souhaitons faire une série d'interview avec tous les athlètes romands sélectionnés. Le but? 10 questions qui seront posées à tout le monde. Est-ce que vous auriez un peu de temps à me consacrer pour s'appeler? Merci et bonne journée.»
Voici le message qu'ont reçu les 37 athlètes romands qui participeront aux Jeux de Paris. Tous (sauf Stan Wawrinka) nous ont répondu et ont joué le jeu. Durant l'intégralité des Jeux de Paris et le jour même de leur première apparition, retrouvez les interviews décalées des Romands sur Blick.
Pour retrouver les autres «10 questions à» déjà publiés, c'est par ici.
«Bonjour [insérez prénom]. Je m'appelle Matthias Davet/Grégory Beaud et je travaille pour Blick en Romandie. Je serai présent aux JO de Paris. Nous souhaitons faire une série d'interview avec tous les athlètes romands sélectionnés. Le but? 10 questions qui seront posées à tout le monde. Est-ce que vous auriez un peu de temps à me consacrer pour s'appeler? Merci et bonne journée.»
Voici le message qu'ont reçu les 37 athlètes romands qui participeront aux Jeux de Paris. Tous (sauf Stan Wawrinka) nous ont répondu et ont joué le jeu. Durant l'intégralité des Jeux de Paris et le jour même de leur première apparition, retrouvez les interviews décalées des Romands sur Blick.
Pour retrouver les autres «10 questions à» déjà publiés, c'est par ici.
Mouvementé, communauté et thérapie. J'ai eu beaucoup de changements dans ma vie: j'ai déménagé 17 fois et j'ai changé d'école 14 fois. Dernièrement, je devais encore m'entraîner dans mon garage, à côté de ma voiture.
C'est drôle, je pensais justement à ça aujourd'hui. La première fois que je me suis dit: «Ouah, c'est un sport que j'aime», c'est quand j'étais aux États-Unis. J'ai commencé en tant que barreuse, c'est-à-dire que je menais le bateau. Je m'occupais des virages et du rythme. J'avais 11 ans et eux la soixantaine. J'aimais beaucoup ce sentiment d'être un peu la cheffe (rires). Ils étaient tous impressionnés et moi j'ai découvert la tactique de ce sport. Et la même semaine, j'ai entendu pour la première fois le bateau glisser sur l'eau. Et ma coéquipière m'a dit: «Wow, tu entends ça? C'est incroyable, on est en train de voler.»
Je dirais la World Cup III de l'année passée, à Lucerne. On avait fini troisièmes grâce à un sprint dans les derniers mètres – ce qui nous avait permis de dépasser les championnes olympiques chinoises. C'était devant la famille, les amis et les émotions étaient très hautes.
«It's race day baby!» J'ouvre les rideaux et je hurle ça à travers la fenêtre. Heureusement, celle avec qui je dors répond à mon énergie.
Avec mes coéquipières, on fait un check. Et quand j'étais plus proche de celle de devant, on s'embrassait la main.
Je dirais du jus de betterave. Ça aide pour fluidifier l'oxygène dans le sang.
Il faut trouver une façon d'avoir 100% confiance en soi. Et en ses points forts.
Ça doit forcément être à Genève? Parce que je voulais dire le Salève. J'adore y faire du vélo. En plus, il n'y a personne et c'est vraiment magique, une fois en haut.
Le cyclisme. Je pense que c'est un sport dans lequel je serais forte, déjà. Et en plus, c'est médiatisé et j'adore partager mes expériences.
Je fais super bien la danse du ventre (rires).