Entourée d'élus, la comédienne a dévoilé un texte censé fournir aux victimes une assistance médicale et juridique ainsi qu'aider les enfants qui ont été exposés à ces violences.
L'actrice de 46 ans accuse son ancien époux Brad Pitt d'avoir frappé intentionnellement leur fils Maddox, 15 ans à l'époque. Le comédien a été blanchi de ces allégations.
«Aux enfants terrorisés»
«Je pense aux enfants qui sont terrorisés et qui souffrent en ce moment et aux nombreuses personnes pour qui cette loi arrive trop tard», a déclaré Angelina Jolie, la gorge nouée, exhortant le congrès à faire de cette loi une priorité.
Depuis 1994, de nouvelles versions amendées d'une loi contre les violences faites aux femmes («Violence Against Women Act») ont été approuvées grâce au soutien des deux partis. Le président américain Joe Biden, alors sénateur, fut l'auteur de la première version de ce texte.
Mais une mouture adoptée à la chambre des représentants en 2019 avait été bloquée au Sénat, où les républicains, majoritaires à l'époque, avaient empêché qu'elle soit soumise à un vote. Le texte dévoilé mercredi est lui soutenu par des élus des deux partis.
(ATS)