Pyongyang a mené une série inédite de sept tirs de missiles en janvier, avec notamment le missile le plus puissant depuis 2017. Le régime a aussi averti qu'il pourrait renoncer au moratoire qu'il s'était lui-même imposé sur les tests de missiles balistiques intercontinentaux et les essais nucléaires.
Mais la Corée du Nord semble avoir cessé ses tests pendant les JO d'hiver 2022, peut-être par respect pour son allié chinois, selon des experts.
Les manifestations de force de Pyongyang interviennent à un moment délicat dans la région, alors que la Corée du Sud s'apprête à élire son prochain président le 9 mars.
Les analystes estiment que Pyongyang pourrait utiliser le prochain anniversaire - les 110 ans de la naissance de Kim Il-sung, le 15 avril - pour procéder à un test d'armement de grande importance.
(ATS)