Swiss met le cap sur des voyages plus durables: grâce à la mise en œuvre de nombreuses mesures dans le cadre de sa vaste stratégie de durabilité, la compagnie entend diminuer de moitié ses émissions nettes de CO2 d’ici 2030 par rapport à 2019. Elle aspire même à la neutralité carbone d’ici 2050. Sa conviction: sur le chemin de la durabilité, chaque économie d’émission compte – qu’elle soit due à l’utilisation de carburant d’aviation durable (Sustainable Aviation Fuel – SAF) et d’avions plus modernes, à des innovations techniques comme AeroSHARK ou encore à différentes offres proposées aux passagers (voir encart «Des vols plus durables avec Swiss»).
Le personnel de Swiss s’engage lui aussi en faveur d’un avenir plus durable, à commencer par les pilotes. «Les efforts au profit de la durabilité jouent un rôle important dans notre entreprise», confirme Benjamin Gajewski, pilote chez Swiss. «Ils s’intègrent petit à petit à la routine, y compris aux commandes de l’avion. À chaque vol, nous faisons tout notre possible pour occasionner le moins d’émissions.»
Lui et ses collègues disposent en effet de différentes mesures pour réduire les émissions de CO2, aussi bien au sol que dans les airs. À l’échelle de l’entreprise et tous métiers confondus, ces leviers sont recensés dans une liste intitulée «Joint Efforts». Autrement dit, tous les employé-es s’impliquent et œuvrent à la même cause. Pour préciser la nature des mesures concernées dans le cockpit, Benjamin Gajewski donne quelques exemples pour chaque phase de vol.
Avant le décollage
Les avions consomment du kérosène en vol mais aussi au sol, à l’aéroport, avant le départ: d’une part pour se rendre du terminal jusqu’à la piste de décollage, et d’autre part pour faire fonctionner toute l’infrastructure de l’avion (électronique de bord, lumière et climatisation, entre autres). L’énergie nécessaire peut être générée par un moteur auxiliaire, «mais il produit des émissions de CO2 et fait du bruit», déplore Benjamin Gajewski. «C’est pourquoi, au sol, nous utilisons autant que possible l’alimentation électrique externe.»
Pour rendre leur voyage plus durable, les passagers Swiss disposent de plusieurs options:
Ils peuvent par exemple réserver le «Green Tarif», qui prévoit une réduction de 20% des émissions de CO2 grâce à l’utilisation de SAF (Sustainable Aviation Fuel) ainsi que la compensation des 80% restants par une contribution à d’importants projets de protection du climat.
Avant de valider la réservation sur www.swiss.com, les client-es peuvent choisir de compenser les émissions de CO₂ de leur vol par le recours au SAF et/ou le soutien à des projets de compensation.
Sur les vols long-courriers, ces offres sont même disponibles pendant le trajet.
Quant aux membres Miles & More, ils peuvent utiliser leurs Miles de prime pour soutenir des projets de protection du climat via l’application Miles & More.
Pour rendre leur voyage plus durable, les passagers Swiss disposent de plusieurs options:
Ils peuvent par exemple réserver le «Green Tarif», qui prévoit une réduction de 20% des émissions de CO2 grâce à l’utilisation de SAF (Sustainable Aviation Fuel) ainsi que la compensation des 80% restants par une contribution à d’importants projets de protection du climat.
Avant de valider la réservation sur www.swiss.com, les client-es peuvent choisir de compenser les émissions de CO₂ de leur vol par le recours au SAF et/ou le soutien à des projets de compensation.
Sur les vols long-courriers, ces offres sont même disponibles pendant le trajet.
Quant aux membres Miles & More, ils peuvent utiliser leurs Miles de prime pour soutenir des projets de protection du climat via l’application Miles & More.
Dans les airs
Une fois au-dessus des nuages, les pilotes recherchent constamment l’option la plus durable. Concrètement, cela se traduit par le choix d’une trajectoire optimale et d’une hauteur de vol qui consomme le moins de carburant possible. Avec une restriction: dans le cockpit, l’équipage ne prend pas ces décisions seul. Il travaille en étroite coopération avec les contrôleurs aériens. Sans oublier que d’autres facteurs entrent en jeu, comme les conditions météorologiques et le vent, ainsi que le poids de l’avion. «Le défi, c’est de trouver la solution la plus durable en fonction de la situation donnée», précise Benjamin Gajewski. Les aiguilleurs du ciel sont cependant eux aussi sur la même longueur d’ondes: «Dans la mesure du possible, ils jouent le jeu.» Bien entendu, un principe reste roi pendant le vol: «La sécurité avant tout», rappelle le pilote.
À l’atterrissage
Quand l’avion effectue sa descente, les pilotes essaient de maintenir les réacteurs au ralenti le plus longtemps possible. Lors de l’atterrissage, les pilotes ont le choix entre plusieurs configurations. La plus efficace consiste à ne pas déployer les volets plus que nécessaire. Benjamin Gajewski: «Moins les volets sont déployés, moins nous générons de résistance à l’air. Nous avons donc besoin d’une poussée moins importante, ce qui à son tour consomme moins de carburant et par conséquent réduit les émissions de CO2.» Après l’atterrissage, Benjamin Gajewski et ses collègues ont encore une autre corde à leur arc. «Lorsque nous roulons jusqu’au terminal, nous pouvons éteindre un réacteur afin de réduire encore les émissions de CO2.»
Cependant, il n’est pas toujours possible de limiter les émissions de CO2 à l’atterrissage. Lorsque le trafic est dense, les avions se retrouvent dans des files d’attente. «La marge de manœuvre est parfois plus restreinte que ce que l’on aimerait», confie le pilote. Mais là encore, il existe des possibilités pour réduire les émissions de CO2 à l’atterrissage. En collaboration avec l’aéroport de Zurich et Skyguide, Swiss a par exemple mis au point une nouvelle procédure d’atterrissage pour éviter ces files d’attente. Particulièrement efficace, ce concept est désormais utilisé dans d’autres aéroports.
Bref, Benjamin Gajewski l’affirme: mises bout à bout, toutes ces mesures permettent de faire bouger les choses. Et Swiss est loin d’avoir dit son dernier mot en matière d’efforts favorables à des vols plus durables. La compagnie est ainsi en passe d’introduire pour ses pilotes un outil de feedback qui leur permet d’analyser les vols également en termes de consommation de carburant. Pour Benjamin Gajewski, une chose est sûre: «Chez Swiss, la prise de conscience par rapport à la durabilité augmente clairement. Non seulement parmi les pilotes, mais aussi dans tous les autres secteurs.»
Carburant durable
Le carburant d’aviation durable (Sustainable Aviation Fuel, SAF) est l’un des plus grands leviers pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 dans le transport aérien.
Avions modernes
Selon les indications de Swiss, les émissions relatives de CO2 des avions modernes peuvent être jusqu’à un quart inférieures à celles des modèles précédents.
Nouvelles technologies
L’amélioration de l’efficacité énergétique ne peut se faire sans technologies modernes. Swiss fait donc avancer, entre autres, le projet AeroSHARK – un «superfilm» qui permet de réduire la résistance au frottement.
Voler plus efficacement
«Operations Efficiency» englobe les mesures visant à accroître l’efficacité opérationnelle, par exemple en évitant les files d’attente ou en optimisant l’utilisation de l’espace aérien.
Implication des passagers
Swiss intègre ses passagers dans ce processus de transformation depuis 2019. Concrètement, au moment d’acheter un billet, les client-es peuvent choisir un carburant durable et contribuer à divers projets de protection du climat (pour en savoir plus: voir encart).
Carburant durable
Le carburant d’aviation durable (Sustainable Aviation Fuel, SAF) est l’un des plus grands leviers pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 dans le transport aérien.
Avions modernes
Selon les indications de Swiss, les émissions relatives de CO2 des avions modernes peuvent être jusqu’à un quart inférieures à celles des modèles précédents.
Nouvelles technologies
L’amélioration de l’efficacité énergétique ne peut se faire sans technologies modernes. Swiss fait donc avancer, entre autres, le projet AeroSHARK – un «superfilm» qui permet de réduire la résistance au frottement.
Voler plus efficacement
«Operations Efficiency» englobe les mesures visant à accroître l’efficacité opérationnelle, par exemple en évitant les files d’attente ou en optimisant l’utilisation de l’espace aérien.
Implication des passagers
Swiss intègre ses passagers dans ce processus de transformation depuis 2019. Concrètement, au moment d’acheter un billet, les client-es peuvent choisir un carburant durable et contribuer à divers projets de protection du climat (pour en savoir plus: voir encart).
Cet article a été réalisé par le Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière rédactionnelle et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact: E-mail à Brand Studio
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