Chez les femmes en particulier, les changements d’ordre privé ou professionnel ont souvent un impact important sur les finances. À long terme aussi, lorsqu’il existe d’importantes lacunes liées à la prévoyance pour la retraite. Il peut s’agir de diverses thématiques, comme fonder une famille, construire une maison, divorcer d’un partenaire ou percevoir une avance d’héritage.
Des connaissances financières pour chaque changement
Il est essentiel de savoir se préparer à ces changements et à leurs conséquences. Sandra Huber-Schütz, Vice Chairwoman d’UBS Suisse, le sait bien: «Il n’est pas nécessaire d’être une pro de la finance pour prendre les bonnes décisions pour s’assurer un avenir serein.» Sandra Huber-Schütz est responsable de Women’s Wealth chez UBS Suisse et encourage les femmes à prendre en main leurs finances. «La connaissance financière est la clé de l’indépendance financière», explique-t-elle. «C’est pourquoi y consacrer du temps et s’y intéresser est d’une importance capitale.»
Afin de faciliter l’accès des femmes aux connaissances financières, Sandra Huber-Schütz a créé la Women’s Wealth Academy. Une plateforme numérique qui transmet des connaissances sur les finances à l’aide de parcours de formation gratuits, structurés par thématiques, telles que la famille, la carrière, la prévoyance ou le patrimoine, qui peuvent survenir tout au long de la vie.
Lisa doit elle aussi maîtriser la nouvelle phase de sa vie de famille. Après la naissance de sa fille, elle a réduit son taux de travail à 60% et s’inquiète des conséquences financières. En effet, cela influe sur les finances à long terme, surtout sur la prévoyance vieillesse, et cela va bien au-delà de la simple réduction de salaire.
Les quatre exemples suivants* illustrent comment Lisa aborde sa prévoyance et comment Martina, Katrin et Sarah gèrent leurs difficultés financières respectives liées à la séparation, à l’achat d’un logement et au versement anticipé d’héritage.
Et vous, où en êtes-vous dans la vie? Qu’en est-il de votre indépendance financière? Faites le test ci-dessus et découvrez quelle thématique financière vous concerne.
Travail à temps partiel: Lisa (29 ans) s’inquiète de sa lacune de prévoyance
Lisa a eu un enfant il y a un an et ne travaille désormais plus qu’à 60%. Depuis, elle se sent déchirée. «J’aime beaucoup passer du temps avec ma fille», dit-elle. «Mais je me demande ce que je ferais si j’étais livrée à moi-même financièrement.»
En discutant avec une amie proche, elle a également constaté qu’en raison de son travail à temps partiel et de son salaire plus bas, elle cotise beaucoup moins pour sa prévoyance vieillesse que prévu. «Elle a calculé que cela n’aurait pas seulement un impact sur l’AVS et ma caisse de pension, mais aussi et surtout sur le 3e pilier. Car moins je verse au fil des ans et moins je peux réinvestir, moins je profite de l’effet des fameux intérêts composés», explique Lisa. «Je n’en avais pas conscience.»
Alors, que peut-elle faire? Son amie a recommandé à Lisa un site web utile pour s’informer en détail sur les conséquences financières de son changement sur le plan privé et professionnel. Le bilan des recherches de Lisa est rassurant: elle peut agir activement pour combler les lacunes de prévoyance en optimisant sa prévoyance privée.
«J’ai fixé un rendez-vous pour un entretien-conseil», poursuit-elle. «Pour comprendre comment je peux optimiser mes versements dans le 3e pilier.» Bien qu’elle ne soit actuellement pas en mesure de continuer à verser la totalité de sa contribution, la conseillère l’a tout de même motivée à verser régulièrement autant que possible. «L’idée, c’est que chaque franc compte. Cette stratégie peut également rapporter des sommes considérables au fil des ans.»
La conseillère lui a également donné un autre conseil important: pour compenser le travail de Lisa en faveur de sa famille (qui n’est pas rémunéré), son partenaire pourrait compléter la solution 3a de Lisa jusqu’à concurrence du montant annuel maximum ou verser une contribution pour permettre à Lisa de participer à son 2e pilier.
Lisa est contente de s’être penchée sur le sujet. Elle est convaincue qu’elle peut avoir un impact sur la planification financière à long terme, même en procédant petit à petit.
Vous n’avez pas besoin d’être une pro pour assurer votre avenir. L’important, c’est de faire le premier pas dès aujourd’hui. Avec la Women’s Wealth Academy, UBS propose des articles actuels sur des thèmes importants de la finance ainsi que des parcours de formation gratuits qui vous donnent des conseils et des informations contextuelles sur différents thèmes financiers. Vous pouvez ainsi acquérir et élargir vos connaissances financières en toute simplicité, où que vous soyez. Cela vous aidera à prendre les bonnes décisions concernant votre argent, aujourd’hui comme à l’avenir.
Vous n’avez pas besoin d’être une pro pour assurer votre avenir. L’important, c’est de faire le premier pas dès aujourd’hui. Avec la Women’s Wealth Academy, UBS propose des articles actuels sur des thèmes importants de la finance ainsi que des parcours de formation gratuits qui vous donnent des conseils et des informations contextuelles sur différents thèmes financiers. Vous pouvez ainsi acquérir et élargir vos connaissances financières en toute simplicité, où que vous soyez. Cela vous aidera à prendre les bonnes décisions concernant votre argent, aujourd’hui comme à l’avenir.
Séparation: quel est le montant auquel Martina (40 ans) a droit en cas de divorce?
Martina traverse une crise avec son époux: ils sont en train de se séparer. Outre le chaos émotionnel qu’elle vit, Martina se fait du souci pour ses finances. Jusqu’à présent, elle a plutôt laissé son mari gérer ce sujet. Mais elle s’interroge: quelle part du patrimoine commun lui reviendrait en cas de divorce? Qu’est-ce que cela signifie pour son niveau de vie futur? Va-t-elle perdre une partie de sa prévoyance vieillesse? Tout cela l’inquiète au point de ne plus trouver le sommeil.
Pour y voir plus clair, Martina décide de consulter une experte, mais d’abord de se renseigner elle-même. Comme elle et son mari n’ont pas de contrat de mariage, Martina apprend que ses biens sont partagés selon le régime matrimonial de la participation aux acquêts. Cela la rassure: pour elle, cela signifie qu’elle récupère l’intégralité de ses biens et que les acquêts – tout ce qu’ils ont acquis ensemble pendant le mariage – sont divisés par deux.
Il en va de même pour les fonds de prévoyance de l’AVS et de la caisse de pension, lui explique l’experte. Bien que soulagée, Martina se veut aussi réaliste et faire le point: comment peut-elle maintenir son niveau de vie? Y a-t-il des lacunes de prévoyance?
Au cours de l’entretien, elle discute avec l’experte d’une possibilité de rachat dans le 2e pilier de sa caisse de pension. Mais cela n’est finalement pas envisageable pour Martina, car elle n’a pratiquement pas investi ses propres économies pendant ses années de mariage. Lors de l’entretien, elle discute donc d’un plan de constitution de patrimoine à long terme.
Disposant de ces nouvelles informations, Martina se sent nettement mieux. La perspective d’un avenir possible sans son partenaire la bouleverse certes toujours, mais ne l’angoisse plus d’un point de vue financier. Elle commence à reprendre le contrôle de ses finances et retrouve ainsi une grande partie de son indépendance.
Propriété du logement: Katrin (36 ans) a peur de l’engagement financier à long terme
Katrin et son mari rêvent d’avoir leur propre maison avec jardin, comme près de deux tiers des locataires en Suisse. Le couple épargne depuis des années pour atteindre cet objectif de vie, mais souhaite également retirer une partie de leurs deux caisses de pension afin de disposer des 20% de fonds propres nécessaires. Malgré l’enthousiasme, Katrin a peur de s’engager financièrement sur la durée. Et si cet achat devenait plus un fardeau qu’autre chose? Cette question la préoccupe beaucoup.
Un soir, elle fait part à son mari de ses sentiments mitigés et constate qu’il ressent la même chose. Lui non plus ne s’est pas beaucoup renseigné sur les conséquences financières liées à son rêve immobilier. Ils décident alors de remédier à leur manque de connaissances ensemble. Avant l’achat d’une maison, les spécialistes conseillent d’établir un plan financier afin d’évaluer ce que cela implique pour le coût de la vie et pour le patrimoine de prévoyance.
Pour leurs calculs, Katrin et son mari trouvent sur Internet de nombreux calculateurs et check-lists pratiques. Mais le couple demande également un rendez-vous pour aborder la question de la capacité financière à la retraite. En effet, les frais courants de la maison pourraient devenir un problème parce que leurs revenus diminueront à l’âge de la retraite. Et tous deux veulent absolument éviter de devoir vendre leur maison à la retraite. Katrin s’inquiète également, car son avoir de prévoyance va diminuer en raison du versement anticipé pour l’achat d’une maison. Le conseiller recommande donc au couple de se constituer un patrimoine à long terme.
Et bien que personne n’aime envisager que les choses pourraient mal tourner, l’éventualité d’une séparation est également évoquée: si cela devait arriver, la copropriété s’accompagnerait en principe de conflits mineurs, car les parts sont clairement définies. Pour cette raison, Katrin et son mari décident d’opter pour cette forme de propriété.
Avec ces nouvelles connaissances dont elle dispose, Katrin se sent beaucoup plus sereine. Devenir propriétaire est un rêve absolu, mais elle veut l’aborder en toute conscience et avec une planification solide.
Avance d’héritage: Sarah (44 ans) se demande ce qu’elle doit faire de cette aubaine financière
Sarah rayonne et son bonheur est perceptible: ses parents lui ont récemment légué une grosse somme d’argent par avance d’héritage. Elle se réjouit, mais une question se mêle rapidement à l’euphorie, comme elle le raconte: «Je ne savais pas ce que je pouvais faire avec autant d’argent. J’ai donc profité de l’occasion pour me familiariser avec le thème de la gestion de patrimoine.»
Comme elle n’avait jusqu’alors disposé que de très faibles sommes d’argent liées à ses revenus, la question de la gestion de patrimoine lui était totalement étrangère. «Je me suis donc renseignée sur Internet», raconte-t-elle. «Et j’ai rapidement trouvé de nombreuses informations utiles.» C’est ainsi qu’elle a appris qu’il pouvait être judicieux de se poser les bonnes questions pour trouver la stratégie d’investissement appropriée: quels objectifs financiers voulait-elle atteindre? Quels souhaits et rêves souhaitait-elle réaliser? Jusqu’où était-elle prête à prendre des risques?
«Pour moi, la leçon la plus importante en matière d’investissement, c’est la diversification», résume Sarah. Autrement dit, ne pas mettre ses œufs dans le même panier.» Elle a appris que la meilleure façon de protéger son patrimoine est de le répartir dans différentes catégories d’actifs, comme les actions, les obligations et les placements sur le marché monétaire, dans différentes régions, dans différentes devises et dans différents secteurs.
Sarah semble satisfaite. «Grâce à ces nouvelles connaissances et à mon plan, je peux désormais organiser mon avenir financier de manière beaucoup plus active qu’auparavant.»
Conclusion: ces quatre exemples montrent que lorsque nous connaissons des changements de vie, cela a souvent des répercussions importantes sur l’avenir financier. Mais ils montrent aussi à quel point tous ces défis peuvent être relevés avec les connaissances nécessaires.
*Les personnages sont fictifs
Cet article a été réalisé par le Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière rédactionnelle et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact: E-mail à Brand Studio
Cet article a été réalisé par le Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière rédactionnelle et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact: E-mail à Brand Studio