Son regard est concentré, ses muscles sont tendus. Debout dans la salle de sport, Colin Schrepfer soulève des haltères. Il effectue douze soulevés de terre, et en ajoute même trois. Avec la même motivation, il passe ensuite aux haltères courts, puis aux kettlebells. Et enfin, au rameur.
Pour l’apprenti informaticien, la musculation est le complément idéal à son métier. Afin de progresser, et d’être plus en forme. Pour lui, c’est une question de «forme», mais aussi de formation: «Grâce au sport, je gagne en discipline, en endurance et en résistance, déclare-t-il à propos de sa passion. Et en résilience de manière générale. Cela se reflète aussi de manière positive sur mon travail.»
Son travail: développeur de plateformes informatiques en quatrième et dernière année d’apprentissage. Un domaine spécialisé où tout semble presque évident à ce jeune homme de 19 ans, grâce à sa capacité à aborder les choses de manière logique et à son goût prononcé pour l’informatique. Ce Zurichois s’occupe de la planification, de l’installation, de la maintenance et de la sécurisation des systèmes et infrastructures informatiques. «Au fil de ma formation, j’ai été très surpris par la diversité de l’informatique et par le nombre d’aspects différents qu’on y découvre, explique-t-il. On ne s’ennuie jamais.»
La formation professionnelle et la richesse des métiers constituent des piliers essentiels du succès économique suisse. Pour garantir leur pérennité et permettre aux jeunes de découvrir et de développer pleinement leur potentiel, UBS s’engage activement sur l’ensemble des plateformes SwissSkills. Celles-ci visent à renforcer l’excellence de la formation professionnelle en Suisse.
Parmi les initiatives soutenues figurent notamment les championnats suisses des métiers SwissSkills 2025, qui auront lieu à Berne du 17 au 21 septembre, ainsi que l’accompagnement de l’équipe nationale SwissSkills dans sa préparation aux compétitions internationales.
Ringier Médias Suisse est le partenaire média officiel de SwissSkills.
La formation professionnelle et la richesse des métiers constituent des piliers essentiels du succès économique suisse. Pour garantir leur pérennité et permettre aux jeunes de découvrir et de développer pleinement leur potentiel, UBS s’engage activement sur l’ensemble des plateformes SwissSkills. Celles-ci visent à renforcer l’excellence de la formation professionnelle en Suisse.
Parmi les initiatives soutenues figurent notamment les championnats suisses des métiers SwissSkills 2025, qui auront lieu à Berne du 17 au 21 septembre, ainsi que l’accompagnement de l’équipe nationale SwissSkills dans sa préparation aux compétitions internationales.
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Fini la timidité
Colin Schrepfer parle calmement et semble très réfléchi. Difficile de croire que ce spécialiste de l’informatique se disait lui-même timide au début de son apprentissage. À l’époque, il avait plutôt tendance à observer depuis le deuxième rang, à essayer de relever une tâche difficile tout seul. «Parfois, je ne trouvais pas de solution pour avancer et je perdais patience», se souvient-il. Jusqu’à ce qu’il franchisse une étape importante pour lui: aller à la rencontre des gens. «Cela a été un processus d’apprentissage important pour moi. Voir qu’il faut parfois un regard extérieur pour tracer son propre chemin jusqu’à la solution.»
Aujourd’hui, la «résolution structurée de problèmes» est son cheval de bataille. Cela signifie que Colin cherche d’abord à obtenir tous les éléments avant de prendre une décision. «La plupart du temps, le problème nous submerge. Il faut donc tenter de le diviser en petits morceaux pour finalement arriver au but.»
Formation: focus sur l’autonomie
Au cours de son évolution, Colin Schrepfer a également bénéficié du précieux soutien de son employeur, qui attache une grande importance à l’autonomisation des jeunes en apprentissage. Le grand atout d’UBS en matière d’apprentissage, c’est son centre de formation interne qui fait office de tiers-lieu pédagogique après l’école et le lieu de travail. «Normalement, ces cours dits interentreprises ont lieu en externe», explique Patrick Müller, formateur. «Grâce à la taille de notre entreprise, nous sommes en mesure de les proposer en interne, ce qui nous permet d’aborder de manière ciblée des contenus spécifiques à UBS.»
Pour Colin, le centre de formation interne a représenté un complément idéal à sa formation en l’aidant à développer ses points forts de manière ciblée. Cela n’a pas échappé à sa hiérarchie, qui fait l’éloge de ses «performances remarquables sur le plan technique, mais aussi en ce qui concerne ses compétences sociales et méthodologiques». Selon le formateur Patrick Müller, si le jeune homme a pu progresser au fil de ses quatre années d’apprentissage, c’est parce qu’il s’est confronté à ses centres d’intérêt et à ses compétences. Il prend Colin en exemple. «Il s’est posé des questions importantes: "Qu’est-ce que je veux? Qu’est-ce qu’il me manque? Quelle direction est-ce que je souhaite prendre?" Tout cela lui a permis de gagner en maturité et d’avancer.»
Des efforts récompensés
Chez UBS, toutes les personnes qui font preuve d’un engagement exceptionnel bénéficient d’une promotion, que ce soit par des rotations de postes ou la prise en charge de projets propres. Au centre de toutes les convoitises: chaque année, un groupe de jeunes en apprentissage se rend à New York pour acquérir de l’expérience dans le cadre d’un séjour de quatre semaines. C’est alors l’occasion de collaborer avec des start-up, d’échanger avec des étudiants et étudiantes en technologies et de faire connaître le système d’apprentissage, peu présent aux États-Unis. Le message: même sans diplôme universitaire, il est possible de faire carrière dans le domaine de l’informatique.
Le voyage dans la Big Apple a aussi permis à Colin de progresser un peu plus. Et le prochain temps fort approche déjà à grands pas: grâce aux championnats régionaux, Colin Schrepfer s’est qualifié pour les SwissSkills, en septembre prochain à Berne. Il veut montrer de quoi il est capable. «Je veux profiter de la comparaison avec les autres pour déterminer où je me situe. Et bien sûr, j’aimerais échanger avec d’autres personnes qui sont sur la même voie de développement que moi.»
Les SwissSkills, une situation gagnant-gagnant
Patrick Müller pense que Colin a de bonnes chances de réussir. «Ses méthodes de travail structurées lui seront utiles lorsqu’il sera mis sous la pression du temps pendant le concours. Je suis convaincu qu’il sera un très bon ambassadeur pour nous aux SwissSkills.» En effet, la participation de jeunes en apprentissage au championnat des métiers profite aussi à l’employeur. «Cela démontre la qualité de formation au sein de nos équipes», déclare Patrick Müller, avant d’ajouter avec un clin d’œil: «La concurrence le remarque aussi…»
Dans le cas de Colin Schrepfer, il n’y a toutefois aucune raison de s’inquiéter: tout est déjà prévu pour son embauche au sein d’UBS. Son objectif professionnel? «Je souhaite avant tout faire quelque chose d’utile, qui simplifierait le travail des équipes de l’entreprise et qui, le cas échéant, l’automatiserait, explique-t-il. Cela s’avère de plus en plus important, car tout gagne en complexité. Dans ce genre de situation, c’est une bonne chose que le secteur informatique s’en mêle.» Et d’autant plus si celui-ci est aussi bien organisé que Colin Schrepfer.
Cet article a été réalisé par Ringier Brand Studio à la demande d'un client. Les contenus ont été préparés de manière journalistique et répondent aux exigences de qualité de Ringier.
Contact : E-mail à Brand Studio
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