Des regrets mais aussi de la fierté pour René Weiler.
Photo: SALVATORE DI NOLFI
«Nous aurions dû mener au moins 2-0 à la pause. A ce niveau, on ne peut pas laisser filer de telles opportunités…» Les chances de Timothé Cognat et de Dereck Kutesa agiteront les nuits de René Weiler.
«A la reprise, nous savions que les Rangers allaient revenir avec la ferme intention de nous bousculer, poursuit le technicien genevois. Il y a une part de malchance de prendre ce but juste après la pause...» Le technicien zurichois se montre toutefois très fier de son équipe. «Servette n’est pas les Young Boys ou le FC Bâle. Il faut apprendre à jouer tous les trois jours, lâche-t-il. Je pense que nous avons su montrer un visage séduisant lors de ces deux confrontations contre Genk et les Rangers.»
(ATS)