Pas moins de 43 petits sauteurs de boue d'Inde, ou gobies, sont arrivés au vivarium, où est présenté le thème du passage de la vie aquatique à la vie sur terre, a informé mercredi le zoo de Bâle. Les nouveaux arrivants ont remplacé les gobies d’Afrique, plus grands mais dont les mâles se montraient trop agressifs entre eux.
Le gobie indien aux yeux globuleux ne dépasse pas 7 cm de longueur. Habitants des mangroves, des marais et des embouchures de grands fleuves, ces animaux sont capables de s’adapter aux niveaux sans cesse variables de l’eau.
Le Periophthalmus, de son vrai nom, est un genre de poissons de la famille des Gobiidés. Periophtalme vient du grec ancien peri, ou « autour de », et ophtalmo, ou «œil ». En effet, les yeux de ce poisson, en plus d’être saillants, sont très mobiles: ils lui permettent de voir à 360° — comme les mouches — aussi bien sous l’eau que sur terre. Dans le langage courant, ce sont des noms tels que "Poissons grenouilles», «Gobies sauteurs», «Gobies marcheurs» ou encore «Sauteurs de vase» qui viennent qualifier le petit être.
Ils sont capables de vivre provisoirement à l'air libre, sur la vase, les rochers du bord de mer ou les branches de la mangrove, où ils se nourrissent d'insectes et de petits invertébrés.
Le Periophthalmus, de son vrai nom, est un genre de poissons de la famille des Gobiidés. Periophtalme vient du grec ancien peri, ou « autour de », et ophtalmo, ou «œil ». En effet, les yeux de ce poisson, en plus d’être saillants, sont très mobiles: ils lui permettent de voir à 360° — comme les mouches — aussi bien sous l’eau que sur terre. Dans le langage courant, ce sont des noms tels que "Poissons grenouilles», «Gobies sauteurs», «Gobies marcheurs» ou encore «Sauteurs de vase» qui viennent qualifier le petit être.
Ils sont capables de vivre provisoirement à l'air libre, sur la vase, les rochers du bord de mer ou les branches de la mangrove, où ils se nourrissent d'insectes et de petits invertébrés.
Ingénieux petits périophthalmes
Lorsque son habitat s’assèche à marée basse, le sauteur de boue ferme ses branchies afin qu’elles ne se dessèchent pas. Il peut tenir jusqu’à 60 heures hors de l’eau, tant que sa peau reste humide. Dès qu’elle menace de s’assécher, il se glisse dans des trous qu’il creuse lui-même dans la vase.
(ATS)