Le chef de la diplomatie suisse Ignazio Cassis lors d'une réunion de haut niveau sur l'Ukraine au Conseil de sécurité de l'ONU, le 24 février dernier, une année après le déclenchement de l'agression russe (archives).
Photo: JUSTIN LANE
Le chef de la diplomatie suisse a jugé que la Confédération était une interlocutrice recherchée lors des réunions au sommet organisées cette semaine, a-t-il déclaré jeudi soir à l'agence Keystone-ATS à New York.
La guerre en Ukraine a été au centre des entretiens du chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE). Il a ainsi participé à une réunion sur la Cour pénale internationale (CPI), au cours de laquelle le crime d'agression a été discuté.
La Suisse salue l'idée d'un tribunal spécial sur la guerre d'agression russe contre l'Ukraine, a rappelé Ignazio Cassis, mais une telle cour doit être «très internationale», a-t-il précisé.
(ATS)