«La progression a pu être compensée en particulier par une hausse des recettes fiscales», a indiqué lundi le conseiller d'Etat en charge des finances Jean-Pierre Siggen. Grâce à sa politique financière prudente des dernières années, l'exécutif a maintenu un programme d’investissements «ambitieux».
Le gouvernement est parvenu aussi à compenser l’absence probable de versement de dividendes par la Banque nationale suisse (BNS). Aucun versement n’a ainsi été inscrit pour 2024, à l'instar de 2023. Au-delà, les charges comme les revenus affichent une progression de 4,6% pour totaliser un peu plus de 4,05 milliards de francs.
Le volume des investissements porte sur 296,3 millions de francs. Leur degré d'autofinancement atteint 46,3%. Les comptes 2022 avaient dégagé un excédent de 494'000 francs.
(ATS)