Concrètement, il s'agit de serveurs Microsoft Exchange vulnérables, communique le Centre national pour la cybersécurité (NCSC) sur Twitter. Le logiciel sert, entre autres, à gérer les courriels, les rendez-vous et les contacts.
«Nous avons été informés par une certaine source que de nombreuses entreprises et communes n'ont toujours pas comblé cette faille de sécurité», a déclaré vendredi sur les ondes de la radio SRF Max Klaus, responsable adjoint de la cybersécurité opérationnelle du NCSC.
«Bien que les correctifs correspondants soient disponibles depuis des mois, ils n'ont pas encore été appliqués», critique le centre sur Twitter. Ces correctifs permettent d'effectuer une mise à jour et souvent de corriger des erreurs dans le logiciel.
(ATS)